Après tout...
Datte: 17/07/2023,
Catégories:
fh,
voisins,
jardin,
entreseins,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
Sa robe de coton ne tenait plus que par deux boutons, roulée en torchon autour de la taille, les manches lui entravant les bras au niveau des coudes, les gros seins blancs en plein ramollissement après avoir été monstrueusement triturés. La petite culotte sur les chevilles, son beau chignon auburn explosé en mèches folles, le rouge aux joues, des filets de sperme et de mouille coulant lentement le long de ses cuisses, elle reprenait péniblement son souffle.
— Putain, qu’est-ce que tu m’as mis, murmura-t-elle dans un souffle…
Comme pour ponctuer son affirmation, une sorte de pet humide sortit de l’un de ses orifices et nous éclatâmes de rire ensemble. C’est bon de rire, ça détend, surtout après l’invraisemblable tension d’une folie sexuelle aussi intense.
Elle, c’est ma voisine, Mylène, mère de deux enfants, épouse de Marc, mon copain. Marc est ingénieur et responsable des travaux au Conseil Général. Mylène était secrétaire de direction, mais après ses deux grossesses et un congé pour élever ses jeunes enfants, elle a décidé que le statut de femme au foyer lui convenait parfaitement. Elle n’a jamais repris le boulot, préférant cultiver l’économie de dépenses au revenu salarial. Ainsi, elle n’avait pas recours à une nourrice, à une crèche ou autre garderie, éludait le besoin de femme de ménage, produisait légumes, fruits et conserves à la belle saison, cousait et tricotait l’hiver, élevait poules et lapins, et se sentait à la fois utile et en accord avec ses ...
... convictions écologiques profondes. Et mes voisins vivaient bien ainsi.
Pour Solène, ma femme, cette situation aurait été impossible. Dépendre financièrement d’un homme était pour elle le comble de l’humiliation. Petite, mince, brune à la peau mate, c’était une pile électrique, une hyperactive et femme de tête. Directrice d’un gros centre hospitalier, elle travaillait soixante-dix heures par semaine et parlait essentiellement de son boulot, sa passion. Moi, j’étais son amour, sa « seule faiblesse » aimait-elle à dire, l’homme qui avait su dompter sa frénésie de travail. Elle ne pouvait pas avoir d’enfant et l’avait transformé en « ne voulait pas avoir d’enfant », parce que ça aurait entravé son ambitieuse carrière. Moi, j’étais tout bêtement enseignant, parce que c’était facile : j’avais appris des choses, je les retransmettais. Un peu farfelu et comédien, je savais naturellement captiver mon public, je n’avais donc pas d’effort à faire ce qui convenait à ma… nonchalance (pour ne pas dire fainéantise) naturelle.
Très vite, nous étions devenus copains puis amis avec nos voisins sympas. Dîners l’hiver, barbecues l’été, parfois même quelques jours de vacances en commun, l’atmosphère entre les deux couples était excellente, chacun respectant l’autre, et les discussions passionnantes, parfois interminables. Jamais il n’y avait eu le moindre dérapage. Je crois que Solène ne faisait pas envie à Marc, et même si j’étais sensible aux charmes pulpeux de Mylène, l’exacte opposée de Solène, ...