1. Après tout...


    Datte: 17/07/2023, Catégories: fh, voisins, jardin, entreseins, Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... coincé dans ma verge et plus elle grossissait, provocant la contraction des muscles de Mylène… Un cercle infernal, certainement l’origine de l’expression « cercle vicieux », non ? Ce qu’elle était étroite par-là, ce que c’était bon, ce qui m’amena à penser que ce n’était pas une pratique courante pour Mylène et Marc. Cependant, pas de grimaces de douleur, juste des « oh-oh » d’étonnement outré ponctuaient ma pénétration.
    
    Il faut dire que mon pouce sur le clitoris et mes doigts pinçant une pointe de sein détournaient la douleur dans un flux de plaisirs plus connus. Je sentais Mylène prête à tout, ça tombait bien, je voulais tout. Mon ventre arriva au contact de ses fesses, elle respirait difficilement et se souleva, complètement écarlate, pour visualiser le forfait qui se déroulait là-bas, au bord de la table, au bout de son bassin basculé. Puis le plaisir la reprit, elle se laissa de nouveau tomber, les yeux fermés, mais pleins encore de la vision de cette outrageante intrusion. Naturellement, sa main vint compléter mon action en saisissant le téton de son sein libre, le faisant rouler entre deux doigts. Je pus commencer à m’agiter en elle, doucement d’abord puis avec des mouvements plus amples et plus rapides. Elle couina bouche fermée, mordant sa lèvre inférieure, puis accorda ses « rrôôôôhhh ! » à mon rythme, avec une voix terrifiante et caverneuse qui semblait venir du plus profond de son ventre.
    
    Je m’accrochai à ses cuisses dressées et ouvertes, sa petite culotte ...
    ... distendue devait se trouver derrière ma tête, merveilleuse écharpe. Je jouissais autant du plaisir d’enculer Mylène, ce dont j’avais tant rêvé, que des sensations que me donnait son conduit étroit et rebelle. Je crois que ce qui me plaisait le plus en elle, c’est le volume de son corps et la volupté de le palper à pleines mains, à pleine bouche, à pleine bite. C’était doux, tendre, généreux, comme un rôti dans le filet dont on ne peut que reprendre jusqu’à s’en gaver, sans jamais en voir la fin. Rien à voir avec le corps nerveux et sec de Solène, que j’aimais beaucoup cependant. D’autant que ma petite femme, y compris dans l’amour, aimait bien dominer les choses et son plus grand plaisir était de me chevaucher à son rythme jusqu’à son orgasme.
    
    J’avais depuis longtemps appris à calquer ma jouissance sur la sienne, car elle n’aimait ni les arrêts avant terminus ni les prolongations pour les attardés. Mylène au contraire se donnait, s’offrait, se laissait manipuler comme si elle tirait son plaisir de mon plaisir ou de l’assouvissement de mes fantasmes. Cette pensée avait besoin d’être confirmée. Je lui intimai soudain de se mettre à quatre pattes par terre, pour lui infliger une levrette anale d’une violence inouïe. Elle ne protesta aucunement, se donnant sans limites, allant même jusqu’à se branler elle-même le clitoris et glisser sa main entre ses cuisses pour me masser les couilles qui fouettaient rageusement sa vulve. Elle brailla son plaisir à tout le quartier quand, ivre ...
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