1. Le journal intime


    Datte: 14/07/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Philus, Source: Hds

    ... me fallut ouvrir grand la bouche pour enfourner cette bite et j’eus vite mal à la mâchoire. Quelques mouvements aller-retour et je sentis dans ma main durcir le membre extraordinaire de cet homme. Je décidai de continuer jusqu’au bout, enfonçant le pénis dans ma bouche, jusqu’à avoir des haut-le-cœur. Quand je n’en pus plus d’avoir la bouche grande ouverte, je léchai le gland et tout le long de la verge jusqu’aux testicules. Je remontai ensuite gober à nouveau l’extrémité sensible du pénis. Je me prêtai à cette manœuvre plusieurs fois de suite quand tout à coup j’entendis un grognement au milieu de soupirs saccadés. Je fis plonger le sexe le plus loin possible dans ma bouche et reçus plusieurs décharges de sperme. Il y en avait tant et tant que je ne pus tout retenir. Du liquide séminal s’écoulait par les commissures de mes lèvres, bien que j’en avalasse un maximum. Je ne pensais d’ailleurs pas qu’un homme eût pu en éjaculer une telle quantité. Quand ce fut terminé, je me relevai et lui souris, le menton brillant et dégoulinant. Je m’essuyai avec sa serviette et lui fis sa toilette comme s’il ne s’était rien passé. N’Zinga avait les yeux fermés et respirait calmement, apaisé.
    
    Bien sûr, la fellation devint la norme entre nous, mais l’instinct est tel qu’il me vint une autre idée. J’avais lu que des femmes obtenaient l’orgasme par la pénétration et les mouvements du pénis de l’homme dans leur vagin. Comme je te l’ai déjà dit plus haut, je n’ai jamais connu ça avec ton ...
    ... père, seul homme de ma vie jusque-là. Soit qu’il ne fût pas assez patient et qu’il éjaculât trop tôt, soit que sa bite ne fût pas assez épaisse. N’Zinga du fait de sa circoncision, était assez long à jouir et en ce qui concerne l’épaisseur, il était largement pourvu. Un matin donc, je l’excitai de la main et de la bouche jusqu’à une érection en béton. Les infirmières comme les femmes de service étaient peu habillées du fait de l’extrême chaleur régnant dans l’établissement. Une blouse par-dessus un soutien-gorge (et encore…) et la culotte c’était tout. Je fis glisser la mienne jusqu’aux chevilles et la laissai à terre. Je remontai ma blouse jusqu’au nombril, montai sur le lit et enjamba le corps amaigri. À genoux, je pris son sexe et le posai sur ma chatte trempée, puis tout doucement, je le fis pénétrer en moi. Contrairement à ce que je craignais, mon vagin n’avait pas perdu l’habitude, il mouillait, s’écartait et s’étirait magnifiquement bien sous la poussée de ce membre délirant. Quand il parvint au col de l’utérus (sa bite était trop longue d’une dizaine de centimètres), je stoppai l’avancée et entamai un mouvement de va-et-vient d’abord lentement puis de plus en plus rapidement. N’Zinga paraissait serein, sa respiration était profonde et paisible ; tout comme moi, il appréciait grandement le coït que je lui offrais. Mon vagin dégoulinait de cyprine pour faire coulisser cet énorme mandrin et, à peine quelques minutes plus tard, je ressentis une légère contraction qui me fit ...
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