Le journal intime
Datte: 14/07/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Philus, Source: Hds
... “Prends-le, il est pour toi”. Mal à l’aise, je lâchai sa bite, terminai sa toilette et recouvris son corps avec le drap. On aurait dit un chapiteau ! Je le quittai peu après pour d’autres tâches, mais son regard semblait s’être soudain attristé.
Le lendemain, mon cœur battait la chamade avant de pénétrer dans sa chambre. Quand il me vit, je crus déceler un sourire dans ses yeux et je le lui rendis en lui disant les paroles réconfortantes que l’on profère habituellement aux malades. Quand j’ôtai le drap, il bandait déjà dans son pyjama et quand il fut nu je contemplai, admirative, son mât de cocagne. Son regard était éloquent, puis il ferma les yeux. Je pris son membre de la main droite, mes doigts ne faisaient pas le tour, et je commençai à le masturber. Ce n’était pas chose aisée du fait de sa circoncision, car il n’y avait pas de prépuce pour découvrir et recouvrir le gland noir. J’eus alors l’idée d’utiliser l’éponge de la toilette pour lui caresser le frein. Son pénis était plaqué sur son torse et l’extrémité arrivait à hauteur de ses seins. Je mouillai l’éponge régulièrement et frottai de plus en plus vite quand brusquement, une marée blanche jaillit du méat pour lui inonder le cou. Il grogna puis je sentis s’apaiser la tension des muscles encore valides qui lui restaient. Je crus distinguer dans son regard comme un remerciement et un soulagement. J’essuyai le sperme avec l’éponge puis finis sa toilette avant de quitter la chambre. J’avais une envie folle de me ...
... masturber, mais ce n’était ni le lieu ni le moment. »
Machinalement, tout en lisant, Coralie glissa une main dans sa culotte et effleura son sexe épilé qui suintait. Elle ressortit ses doigts mouillés et les plaça sous son nez. Le parfum d’amour lui vrilla le ventre de désir, mais elle voulut l’ignorer et se replongea dans sa lecture.
« Pendant ce temps, je continuais à me confesser une fois par mois, mais je n’avouai jamais au père Poitevin ce que j’estimais au premier abord être un énorme péché. D’une part parce que je me trouvais trop honteuse de cette luxure, mais surtout et malgré le secret de la confession, je craignais qu’il en parlât à Hélène. Elle en aurait profité pour me licencier sur le champ. Je trouvai alors une excuse fort pratique dans le sens où cet homme, privé de ses quatre membres et incapable de bouger, ne pouvait assouvir ses besoins sexuels seul et qu’il lui fallait absolument l’aide d’un tiers. J’étais donc automatiquement pardonnée, inutile d’en faire référence. Je me suis souvenue de certaines petites annonces de gens qui se définissaient comme “assistant sexuel” et finalement, m’assimilais à eux.
Je branlais N’Zinga tous les matins, quand un jour, malgré mes efforts, il ne parvint pas à l’érection. Déçue, j’eus soudain une idée en repensant à ce que ton père me demandait quelquefois quand nous faisions l’amour. Je pris la verge molle d’une main et portai le gland à mes lèvres tandis que, de l’autre main, je lui malaxai les couilles fermement. Il ...