1. Transport en commun


    Datte: 10/07/2023, Catégories: fh, couple, extracon, essayage, voiture, douche, Oral pénétratio, fsodo, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... non, car je me sens comme étant une « pucelle » qui va découvrir ce que la vie, ou le vit -que je suis drôle - lui réserve.
    
    Déçue. Oui, je suis déçue. Je m’attendais à trouver ce « vit » en érection et je ne vois qu’une tige, certes longue, mais qui pend courbée sur ses bourses nourricières. J’avais oublié que tous les hommes ne sont pas comme mon mari qu’une pensée, qu’un souffle, érotique, suffit à réveiller. Voit-il dans mon regard ma déception même si elle est vite balayée par la remarque sur mon mari.
    
    D’ailleurs, je devine un frémissement de la bête alors qu’elle se sent surveillée. Mes mains qui se plaquent sur ses fesses, dont la peau à la douceur de celle d’un bébé, ne doivent pas y être pour rien.
    
    C’est le contraire de Romain.(Merde, arrête de prendre ton mari comme référence. D’accord, lui, sa bite est si raide que pour la prendre en bouche tu dois, soit la forcer à quitter le nid douillet de son ventre avec la main, soit « arriver par le haut » pour le saisir avec ta bouche. Fais preuve d’imagination ! Ne cherche pas à reproduire, sinon, quel intérêt ?)
    
    Oui, elle frémit. Je devine un début de tension.
    
    Je prends le gland dans ma bouche. En montant, le reste de la verge suit son chemin et avance dans ma gorge. Mes lèvres se heurtent aux bourses. J’ai tout son engin qui se moule contre mes joues, mon palais. Un serpent ondulant. Mais un serpent qui se gonfle. Je le sens se déployer et bientôt le nid que je lui propose est trop petit. Je ne sais si c’est ...
    ... lui, ou si c’est moi qui recule, mais mes lèvres ont bien du mal en entourer ce qui est devenu…
    
    Je l’ai sous les yeux… Une longue tige horizontale qui palpite sous les mouvements volontaires ou involontaires qui l’animent. Elle est longue, droite, à peine marquée par une veine, le gland totalement dégagé, à la fois dure et souple, vraiment différente de…(Chut. Ne pense pas à lui. Regarde plutôt et profite. Prends-la en bouche. Déguste là. Tiens palpe avec deux doigts… Tu sens comme elle est à la fois dure et souple. Tu pourrais la courber avec la main.)
    
    Je sens qu’il s’impatiente. Il doit penser :« Suce-moi ! Regarde dans quel état tu m’as mis ». Je sens sa main. Mais elle n’est pas pressante ou impérieuse, appuyant sur ma tête pour m’inciter à le reprendre en bouche, oui le reprendre, car c’est par ma bouche, sa chaleur, son humidité qu’il s’est déployé. Non, la main est douce, caressante, effleure mon épaule, passe le cou, caresse mon menton, ma joue, mes lèvres et c’est une évidence pour moi d’en attraper un doigt. Je le suce doucement. Un autre le rejoint. Puis un autre. Ma bouche est ouverte, ma salive coule. Je sens toute la perversité de cette simple caresse et lorsque les doigts me sont refusés c’est tout naturellement que mes lèvres se reposent sur le gland. Je joue avec, ma langue en fait le tour, explore le sillon, revient vers cette boule de glace qui ne fondra jamais, mieux qui semble s’arrondir encore un peu.
    
    J’ai toujours mes mains sur ses fesses. Mes ...
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