L'étrange aventure d'Ambrose Mac Heusdress
Datte: 06/07/2023,
Catégories:
fh,
frousses,
amour,
jalousie,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
fouetfesse,
Humour
policier,
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... d’animaux sauvages.
Mis en présence des deux tigresses, ils avouèrent tout très vite. Ambrose resta seul chez lui, triste et malheureux, selon les dires du constable venu le voir pour lui annoncer le passage aux aveux de son ex-épouse et de son ex-employé. Ils furent condamnés dans la foulée à trente ans de prison.
— Merci pour tout, monsieur Gattwick, le remercia Ambrose, vous m’avez sauvé la vie plusieurs fois, je ne vous oublierai jamais.
— Qu’allez-vous faire maintenant ?
— Voyager un peu et m’adonner à ma passion, pour oublier.
En fait, Ambrose Mac Heusdress s’initia au yoga, fit des recherches et des expériences sur le cerveau humain et personne n’eut plus de ses nouvelles pendant plus d’une année. Il fit une retraite dans un ashram en Inde et dans un monastère des Météores.
Quelques mois plus tard
Puis un beau jour, un étranger s’installa dans un grand mas situé au pied du Ventoux. Une grande bastide provençale dotée de tout le confort possible et imaginable. Un court de tennis tenait compagnie à un parcours de golf sous les pins maritimes. Un simple parcours à 9 trous, le propriétaire tenait à rester humble.
Des plantes méditerranéennes poussaient dans un désordre ordonné, comme dans la garrigue ou un jardin à l’anglaise.
Une sublime jeune femme brune sortit de la piscine, ruisselante et uniquement vêtue de sa candeur. Elle fit une caresse aux deux tigresses douces comme des agnelles qui prenaient le frais sous la pergola et se dirigea vers le ...
... salon où un homme lisait quelques articles sur la photographie animalière.
Il leva les yeux et fit un grand sourire à la jeune beauté qui s’approchait de lui de sa démarche féline. Il en profitait pour la détailler une énième fois. Ses yeux verts légèrement bridés, ses pommettes hautes, ses seins ni trop gros, ni trop petits tels des melons juteux, aux tétons sombres et dressés. Sa taille fine et ses longues jambes musclées, sa peau dorée, le petit triangle de satin sombre niché au bas de son ventre plat. Mais surtout il adorait son merveilleux sourire lumineux. Une fois près de lui elle lui murmura :
— J’ai envie de te faire l’amour.
Il la prit par la taille et lui embrassa le nombril. Puis, aussi nu qu’elle, il s’allongea sur le canapé, la couleuvre de Montpellier déjà en alerte.
Elle l’enjamba, posa son jardin d’Éden sur la tige dressée et s’y caressa, du pertuis au bouton de nacre, en de lents allers et retours. Elle goûtait son plaisir en fermant les yeux et se mordillant les lèvres. L’homme n’était pas en reste. En de délicates caresses, il faisait s’horripiler la peau de sa compagne, il remontait des hanches vers les seins qu’il empaumait, en agaçait les tétons et aréoles.
Il adorait lui prodiguer cette caresse et sentir durcir les pointes sous ses doigts agiles.
La jeune femme se souleva, plaça le mandrin à l’entrée de son aven et descendit lentement, savourant chaque instant de cette lente pénétration. Lorsque les deux pubis se réunirent, elle ouvrit ...