1. L'étrange aventure d'Ambrose Mac Heusdress


    Datte: 06/07/2023, Catégories: fh, frousses, amour, jalousie, pénétratio, fdanus, fsodo, coprolalie, fouetfesse, Humour policier, fantastiqu, fantastiq, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    Angela Mc Heusdress se tenait dans la position dite de la levrette – doggy style dans la langue de Shakespeare –, agenouillée au bord du lit.
    
    Nue, ses seins opulents oscillaient en mesure des à-coups de son partenaire. Les jambes largement écartées elle recevait les hommages vigoureux de l’homme debout derrière elle.
    
    Ce dernier lui claquait les fesses rebondies en lui donnant de doux noms d’animaux :Grosse cochonne, ma jument Shire, ma belle vache Hereford, jolie putasse…, faisant claquer son ventre contre le popotin, ressortant entièrement son mandrin pour revenir encore plus fort dans un clapotis révélateur.
    
    Les belles miches tremblaient et rougissaient sous les impacts tandis qu’Angela gémissait d’aise. Elle aimait faire l’amour à la hussarde, se faire prendre sauvagement. Entendons-nous bien : pas de coups de cravache ou autres instruments similaires, pas de liens non plus. Elle aimait juste être rudoyée, qu’on lui assène des mots obscènes pour lui faire rougir les joues en même temps que rougir le derche sous de bonnes fessées.
    
    L’homme humecta de salive l’œil de bronze à sa disposition et y enfonça le pouce tandis que sa compagne se dévissait le clitoris.
    
    — Ah, putain de merde, hurlèrent-ils en même temps, alors qu’elle tremblait de tous ses membres et que lui se cambrait et lui crépissait la salle des fêtes.
    
    Ils s’affalèrent sur le lit, en sueur, essoufflés tels des coureurs à l’arrivée du marathon de New York et restèrent immobiles quelques minutes, ...
    ... immobilité parfois troublée par une caresse sur les fesses accueillantes, ponctuée par un gémissement satisfait.
    
    — Tu n’as jamais été aussi chaude, ma chérie.
    — C’est parce que l’heure est venue, je crois qu’il est temps de passer aux choses sérieuses.
    — Oh, tu me redonnes envie.
    — Tu as toujours envie ! Moi aussi d’ailleurs, ajoute-t-elle dans un gloussement vulgaire.
    
    Effectivement le boa de calbute relevait la tête.La belle cochonne prit en main le chibre, le branla quelques instants, puis l’emboucha avec gourmandise, le dégustant comme un « Magnum » à la vanille.
    
    — Allez, ma dodue, en position, dit-il en l’asseyant sur son ventre, dos tourné à lui, dans la position dite de la Balançoire.
    
    Mais au lieu de diriger le missile vers laLa Porte des Étoiles, il le présenta à l’entrée de laCaverne d’Ali Baba.
    
    — Angus, on avait dit pas là !
    — Ben oui, mais il me faisait de l’œil.
    — Tu n’es pas sérieuuuux ! glapit-elle alors qu’il lui déplissait le portail de la cité interdite.
    
    Elle prit le temps de reprendre ses esprits avant de s’agiter sur le gros engin qui l’empalait. Il finit par lui repeindre la dunette arrière, même si elle n’aimait guère cette pratique. Même si, quand même, avec le temps elle y trouvait un certain plaisir pervers.
    
    ****
    
    Cette scène ne serait qu’une banale partie de jambes en l’air si madame Angela Mc Heusdress ne faisait des galipettes avec Angus Stuart, l’employé de son mari. Galipettes faites dans le lit conjugal alors que le mari ...
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