Ivresse(s)
Datte: 02/07/2023,
Catégories:
ff,
inconnu,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... téton ! Il faut qu’elle arrête, sinon je vais m’envoler à nouveau.
Je l’entoure de mes bras, j’attire son visage sur le mien, nous nous embrassons amoureusement. Je retrouve mes odeurs sur ses joues. Elle est toute barbouillée de mon jus. Je le lape avec bonheur. Ses seins lourds moulent les miens. Je croise mes jambes autour de sa taille. Ma chatte épouse son pubis. Une mouille chaude coule sur mon enfourchure… Je me sens égoïste.
— Chantal, mon bébé, je n’ai pensé qu’à moi.
Ma main glisse sur ses reins (son petit râble de lapin), jusqu’à ses fesses. Mon majeur trouve le haut de son sillon, s’immobilise un instant. Elle se love plus étroitement contre moi. Mon doigt reprend sa descente. La raie est moite. Je fais quelques allers-retours sur le bout des vertèbres, mais ma cuisse m’empêche d’aller plus loin. Je retire mon doigt et le passe sous mes narines, juste entre nos nez.
Chantal rit, fait mine de le mordre. J’esquive ses dents, deux fois, trois fois. Je le lui abandonne. Elle le lèche, moi aussi. Il est légèrement salé. Nous rions. Je décroise mes jambes. Avec d’infinies précautions, entrecoupées de rires – ne pas se planter une autre écharde – nous échangeons nos places. Elle allongée, moi au-dessus, nous nous regardons, soudain sérieuses.
Je m’accroupis entre ses chevilles. J’aime lui montrer ma chatte ouverte. Elle soulève ses hanches, m’exhibe la sienne écartée à deux mains, comme pour un défi, comme dans une prière… Je tombe à genoux entre ses ...
... cuisses pour baiser avec dévotion cette coupe offerte. Elle brille d’un jus dont l’odeur m’affole. Je suis impatiente de m’en repaître enfin.
Mes mains remplacent les siennes. Je peux détailler à loisir cette chatte tant désirée. J’y plonge. Je m’y noie. Je la fourre de ma langue… Ah ! Que c’est bon de mêler l’odeur et la saveur de cette moule juteuse. Du miel marin, une crème légère au goût iodé, et même un peu plus, un relent de crevette, mais c’est encore meilleur ! Je le déguste, je m’en tartine les papilles, j’en redemande. C’est si facile de rouler ma langue dans cette source de mouille ! J’y puise sans relâche, sans me rassasier, sans l’assécher. Plus je bois son jus, plus elle m’en offre, mieux j’en découvre le bouquet. Je suis une œnologue de la cramouille !
Mais je m’égare, j’oublie de profiter aussi de ses tremblements et de ses soupirs. Voyons, si je suce ces petites lèvres si douces… ah, ça lui plaît ! Et si je tire un peu, que je mordille ? Hum, elle se cambre ! Et si j’aspirais à même l’entaille, là, ce petit trou que son jet arrondissait ? Eh oui ! Chantal me le colle à la bouche d’elle-même, encore plus fort ! Mais oui, ma chérie, je vais te toiletter le trou à pipi, je vais en extraire les dernières traces salées… Sa motte tressaute sur mon nez, elle marmonne, elle adore. Oh oui ! Qu’elle me donne encore quelques gouttes !
Non, dommage, cette source est temporairement à sec. Heureusement, elle a laissé un reste de fragrance sur les rives de ses voisines, ...