1. Ivresse(s)


    Datte: 02/07/2023, Catégories: ff, inconnu, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... urgences, c’est à deux centimètres de ton petit trou ! Mais comment tu t’es débrouillée ?
    — Arrête de te moquer ! Comme si je l’avais fait exprès !
    — Ben, peut-être, rit-elle. En tout cas, il va falloir que je serre avec mes ongles pour la faire sortir. Ça risque de te faire un peu mal.
    — Tant pis, vas-y, mon cul est à toi !
    
    Elle s’applique, s’y reprend à plusieurs fois. C’est vrai que ça fait mal, c’est fragile là, la peau. Mais c’est aussi très excitant. Je frémis de la rosette et palpite de la minette, sans honte. Et sans succès probant, du moins pour l’épine.
    
    — Elle est un peu sortie, mais elle est entrée profond. Je crois que je vais y aller avec les dents. Ça ne te gêne pas ?
    
    Oh que non ! m’entends-je penser.
    
    Promenade au bois
    
    Ça m’est venu tout seul. Il y a dix minutes que je me régale de la vue du troufignon et du corail de Colette, dix minutes que je m’enivre des parfums de sa sueur, de sa pisse, de sa cyprine, et de ce quelque chose d’autre, indéfinissable, qui émane de son intime intimité. Dix minutes aussi que je me retiens de fourrer mes doigts et ma langue dans son con, de sucer ses nymphes baveuses, de boire son jus qui dégorge du trou, et dix minutes toujours que je m’empêche de triturer ma cramouille pour libérer la tension qui gonfle mes lèvres et durcit mes seins.
    
    Je pose ma bouche tout près de son étoile. Je sens les petits frémissements qui la parcourent, j’ai déjà l’impression de communier avec son plus profond (non, mais, ...
    ... qu’est-ce que je raconte !). Je me concentre sur ma tâche d’infirmière bénévole… intéressée… et complice.
    
    D’abord localiser la coupable. Je tâte doucement de la pointe de la langue. Du coup, je goûte à la saveur de son cul, âcre bien sûr, mais aussi curieusement, un peu sucrée. Pas désagréable. Je parcours la zone du plat de la langue, la sensation est plus intense. Je repère le petit bout d’épine au léger accroc sur mes papilles. J’approche mes incisives, délicatement.
    
    Je dois faire plusieurs tentatives (le dois-je vraiment ?) qui font chacune frémir un peu plus fort ma patiente consentante. En jouant de la langue et des dents, j’arrive enfin à extirper le problème. Quand je relève la tête pour l’examiner, j’entends un gros soupir, mi-soulagé, mi-désappointé.
    
    — Attends, Colette, je n’ai pas fini. Ton épine fait un bon demi-centimètre. Je veux être sûre que tout est sorti.
    
    Il y a une gouttelette rouge à l’endroit de la piqûre. Je repasse ma langue dessus. J’appuie bien, j’ai le bord de son petit trou sous ma bouche. Il semble qu’il n’y ait plus rien… Par précaution (on n’est jamais trop prudente), je colle mes lèvres et j’aspire. Il vient une infime perle de sang, mais surtout je retrouve tous les arômes de son cul sous mon palais. Je le lèche.
    
    Je lèche, je lèche, je lèche, je n’arrête pas de lécher. Je lèche les festons de son œillet. Je lèche la transpiration de la raie. Je lèche les poils qui parsèment le tour du cratère. Je lèche le périnée distendu. Je lèche les ...
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