1. Ivresse(s)


    Datte: 02/07/2023, Catégories: ff, inconnu, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... tee-shirt.
    
    — Comme ça ?
    — Les épaules encore plus basses, ce serait mieux.
    — OK, mais fais-moi passer mon chemisier, les brindilles me ruinent les coudes.
    
    Je m’installe comme elle le désire, la tête sur les mains, le haut du buste collé au sol. Le mélange d’aiguille de pin et de feuilles de kermès me picote les bouts de seins. Pas vraiment douloureux, plutôt excitant. Elle s’agenouille derrière moi. Je lui expose mon cul dans sa totalité. Elle l’ouvre sans ménagement.
    
    — Ouche !
    — Pardon. Je t’ai fait mal ?
    — Non, surprise. Continue.
    
    Chantal poursuit son exploration. Ses doigts palpent avec application le long du sillon, jusqu’au bord de l’anus. Trouver la petite pointe qui se cache entre peau et poils va être ardu. Comme trouver une aiguille dans une botte de foin… noir ! Je pouffe de rire à cette idée.
    
    — Ne bouge pas, Colette. C’est déjà assez compliqué comme ça.
    — Excuse. À cause de la vue ou à cause de l’odeur ?
    — Non, ça, ça va ! La vue est craquante et l’odeur est subtile… C’est pour repérer l’objet de tes tourments que c’est dur… Il faut que je fasse différemment.
    
    Pendant qu’elle réfléchit, je ne résiste pas à la tentation de glisser une main sous moi pour me tripoter. Ça fait trop longtemps que j’en ai envie! Je me branle sous ses yeux, et alors ? Puisqu’elle ne déteste pas mes fragrances musquées, je vais en renouveler les plus fortes. Humm ! Je me sens tellement couler que ça doit déborder du con. Elle rit.
    
    — Au lieu de te trifouiller ...
    ... la minette, vilaine fille, tire plutôt sur ta fesse droite, ça me libérera une main !
    — Ooooh, Chantal, j’en ai trop besoin.
    — Moi aussi, qu’est-ce que tu crois ? Mais le travail avant le plaisir. D’abord je t’enlève l’épine du cul !
    
    Son ton sérieux en prononçant la dernière phrase déclenche un nouveau rire. Cette fille me plaît de plus en plus. Je décide d’en rajouter.
    
    — D’accord, mais après on jouit ! Promis, Chantal ?
    — Promis, Colette !
    — J’adore ton petit cul, ajoute-t-elle après un petit silence, et avant de déposer un bisou sur mes deux hémisphères.
    — Moi, je t’adore toute ! Bon, alors, comment tu veux que je fasse ?
    
    Elle me demande de mettre les doigts en éventail sur ma fesse droite, le pouce en bas de la chatte, et de l’écarter. Je tire aussi fort que je peux, bien consciente de tout ce que je lui montre, et des remugles qui doivent s’exhaler. D’autant qu’elle tient toujours fermement ma fesse gauche pour ouvrir largement ma raie.
    
    — Je vais appuyer sur la peau avec mon index et quand tu sentiras que ça pique, tu le dis.
    
    Elle part du coccyx en pressant le bout du doigt sur chaque centimètre carré le long du sillon. Je me retiens d’exprimer mon plaisir – il faut rester sérieuse –, mais qu’est-ce que c’est bon cette succession de petits attouchements qui se rapprochent de mon œillet… Quand tout à coup,
    
    — Hiii !
    
    Chantal appuie une seconde fois (par acquit de conscience ?), re-hiii !
    
    — Ah oui, je la vois. Eh bien, ma chérie, on a frôlé les ...
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