La bonne, la brute et la toubib
Datte: 10/09/2018,
Catégories:
f,
ff,
fsoumise,
Masturbation
massage,
intermast,
Oral
Lesbienne
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... franchement de peur d’écraser ce sublime postérieur.
Elle commença par un long massage sensuel du bas des reins jusqu’aux dernières cervicales. Sylvie n’avait pas inventé son stress, elle était réellement nouée. Il fallut un bon moment avant qu’elle se détende. Quand enfin elle se détendit, Marie-Jo effectua un 180° et, s’asseyant au creux de son dos, s’occupa de ses jambes. Pour atteindre ses mollets, elle devait se pencher. Ses grosses mamelles molles s’affaissaient sur des fesses fermes. La tâche était plus facile, car plus aucune crispation, aucun nœud ne raidissaient ses muscles. Les caresses/massages qu’elle prodiguait intensifiaient sa propre excitation et la mince étoffe de sa culotte était trempée.
— Ton soutif qui appuie sur mon cul, c’est désagréable. Tu ne pourrais pas l’enlever !
Marie-Jo se trémoussa pour l’ôter.
— Tu aurais plus vite fait de poser aussi ta robe.
En deux temps, trois mouvements, elle ôta sa robe et son soutien-gorge. Elle en profita pour frictionner ingénument son minou contre le dos nu. Le crissement de sa toison à travers l’étoffe contre la peau, waouh !
— T’as des escargots dans ta famille ? interrogea Sylvie d’une voix ironique.
— Quoi ?
— Ben, vu la bave que tu es en train d’étaler sur mon dos ! Soit c’est ça, soit…
Marie-Jo devint rouge de confusion. Mais les inflexions de voix et les mains qui se plaquaient sur ses fesses l’incitèrent à approfondir ses massages. Ses mains s’insinuèrent sur la face intérieure des ...
... cuisses remontant lascivement jusqu’à la naissance des fesses. Elle ne s’aventurait pas plus loin bien qu’il lui semblât que le triangle amoureux s’ouvrit pour lui faciliter l’accès. Marie-Jo jouait avec la chair tendre, mais compacte des globes jumeaux. Les massait-elle de manière orthodoxe ? De l’acte purement relaxant, elle était passée à un exercice beaucoup plus érotique. Elle triturait ces deux lunes, les pouces à chaque passage s’introduisaient plus dans la raie, mais sans jamais franchir l’infranchissable.
Soudain, Sylvie se retourna sur le dos, éjectant sa masseuse.
— Et si tu t’occupais du verso, maintenant !
— Vos désirs sont des ordres, madame, lui rétorqua-t-elle en rigolant, mais le ton de Sylvie était… autoritaire.
Sylvie avait adopté une attitude très ambiguë. Sagement allongée sur le dos, les bras le long du corps, mais jambes impudemment ouvertes. Le regard de Marie-Jo ne pouvait qu’être attiré par ces lèvres légèrement disjointes d’où émergeait un bourgeon minuscule. Elle se serait volontiers agenouillée entre ces jambes pour cueillir ce fruit défendu, mais elle n’osait pas. Les sautes d’humeur de sa coloc l’effrayaient et elle n’avait pas envie de se faire rembarrer. Elle continuait de tourner autour du pot de miel sans oser y plonger le doigt.
— Et si tu me faisais la totale, avec tous les suppléments, ricana-t-elle.
L’attitude qu’elle avait adoptée, jambes ouvertes, mains caressant son ventre ne laissait aucun doute sur ce qu’elle entendait ...