La bonne, la brute et la toubib
Datte: 10/09/2018,
Catégories:
f,
ff,
fsoumise,
Masturbation
massage,
intermast,
Oral
Lesbienne
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... Complètement barge, la fille. Elle fut prise d’un fou rire inextinguible, quand elle constata que la tache avait complètement disparu. Cette nana la rendait dingue. Son fou rire se transforma en sanglots quand elle réalisa l’énormité de ce qu’elle venait de faire.
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La main de masseur
Le vendredi soir, Sylvie débarqua, exténuée, énervée. Elle ramassa, sans un mot de remerciement, le linge propre posé sur la desserte. Elle s’enferma dans sa chambre. Marie-Jo tournait en rond dans le salon incapable de se concentrer sur quoi que ce soit. La proche présence de l’autre, son attitude agressive la mettaient dans un pénible état de stress. Elle avait un problème. Au bout de quelques minutes, n’y tenant plus, elle frappa à sa porte.
— Sylvie, ça va ?
— J’t’en pose des questions ? lui répliqua l’autre d’un ton furieux.
À la limite des pleurs, elle s’affala sur son sofa, machinalement, alluma la télé. Elle ne regardait pas, le bruit de fond meublait le silence. Soudain, sa locataire se matérialisa devant elle. Elle avait troqué son ensemble veste-pantalon contre un t-shirt qui lui cachait à peine les fesses.
— Je suis désolée. J’ai eu une sale journée et en plus, je me suis pris la tête avec un connard, au feu, avant d’arriver.
Trop contente de sa soudaine repentance, hypnotisée par le brésilien rouge qui se laissait deviner, Marie-Jo balbutia :
— T’en fais pas. Y’a pas de lézard. On n’est pas mariées !
Elle ajouta après une hésitation :
— ...
... Mon ex, quand il était comme ça, adorait que je le masse.
— T’es experte ? la questionna-t-elle avec une inflexion que Marie-Jo ne sut trop comment interpréter.
— Experte non, mais Jean-Frédéric appréciait beaucoup.
— Jusqu’à quel point ?
— Jusqu’à quel point ! Qu’est-ce que tu veux dire ?
— Rien ! Laisse tomber ! Tu me ferais bénéficier de tes talents, j’en ai réellement besoin.
Viens dans ma chambre, tu te mettras sur mon lit, ce sera plus confortable.
Marie-Jo installa une grande serviette de plage, puis alla récupérer un flacon d’huile d’argan à la salle de bain. Quand elle revint, le t-shirt était plié sur une chaise. Sylvie attendait, nue, intégralement bronzée. Marie-Jo resta pétrifiée devant ce spectacle. Mutine, sa locataire virevolta, tourna plusieurs fois sur elle-même.
Un corps de déesse ! Très bien proportionné, silhouette en H, ventre plat, une poitrine de garçon aux petits tétons foncés. Le bas valait le haut : des fesses toniques, des longues jambes à la musculature déliée. Quant à son sexe, surmonté d’une fine toison, il était unique : une petite mangue comme Marie-Jo n’en avait jamais vu auparavant. Aucune lèvre ne dépassait, un bel ourlet à la couture impeccable. Une chaleur soudaine se répandit dans son bas-ventre. Se reprenant, elle lui demanda de s’allonger sur le ventre, bras croisés sous la tête. Retroussant sa robe, elle s’assit sur les fesses de son amazone, les genoux bien plantés dans le matelas. Fichu poids, elle n’osait s’asseoir ...