1. La bonne, la brute et la toubib


    Datte: 10/09/2018, Catégories: f, ff, fsoumise, Masturbation massage, intermast, Oral Lesbienne Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... par cette demande. Marie-Jo s’agenouilla face à elle. Elle posa les mains de part et d’autre de cette mangue religieuse. Ses pouces entamèrent un massage vertical entre la jointure des cuisses et les grandes lèvres sans jamais toucher la vulve. Au troisième passage, ses doigts se rejoignirent au-dessus de l’encapuchonné. Quelques allers-retours plus tard, ils s’introduisirent dans les sillons entre les grandes et petites lèvres. Enfin, ils pénétrèrent cette foufoune très juteuse. Nul besoin de lubrification artificielle. Si sa coloc restait parfaitement stoïque – rien dans son attitude ne révélait un quelconque plaisir : immobile, yeux grands ouverts rivés au plafond – l’état de son connet ne pouvait cacher l’avancée de son excitation.
    
    Connet qui, sous la tendre pression des doigts, s’ouvrit comme une fleur au soleil. Les doigts s’y enfoncèrent profondément et commencèrent à…
    
    — Ta bouche !
    
    Cette fois, ça ressemblait tellement à un ordre que c’en était un. En bon petit soldat, Marie-Jo s’exécuta. Ses lèvres se posèrent sur la vulve que ses pouces tenaient ouverte. Sa langue plongea dans la chaleur incandescente. Elle explora longuement ce puits d’amour puis remonta. Première réaction de Sylvie quand le bout de la langue entra en contact avec son bourgeon : elle souffla bruyamment, tentant de se contrôler. Marie-Jo léchait avec application la base du clitounet tandis que, par des frôlements répétés de la pulpe légère de son pouce, elle en agaçait le sommet. Dans ce ...
    ... mouvement, son cul se dressait fièrement. Elle aurait souhaité une caresse, des mots tendres. Mais que nenni ! La belle amazone ne pensait qu’à son plaisir. Plaisir qui, sous les lapements inspirés, se manifestait maintenant par des sons inarticulés et des mouvements désordonnés de la tête. Son bassin ondulait sous ces caresses très précises. À l’étage au-dessous, où un index curieux s’était furtivement introduit, c’était le Vésuve. La lave coulait à flots.
    
    Soudain, Sylvie attrapa ses cuisses à l’attache du genou et les amena, jambes repliées, de part et d’autre de ses seins. Ce déplacement repoussa la tête de Marie-Jo dont le nez plongea dans le cratère en éruption tandis que sa langue effleurait une mignonne rosette toute lisse. La position devint rapidement intenable : les narines bouchées par de crémeuses sécrétions, ne pouvant respirer par la bouche, elle étouffait. Elle se dégagea et elle la vit : jambes relevées, lèvres ouvertes, chatte luisante, béante, surmontée d’un triangle de poils taillé au millimètre. Le tableau qu’elle offrait était d’une obscénité… Statufiée, Marie-Jo porta instantanément sa main entre ses cuisses. Sylvie, abandonnée, ouvrit les yeux et s’aperçut de la situation.
    
    — Arrête ! Viens me lécher ! Je te ferai jouir après.
    
    Supplique sous forme d’injonction. Marie-Jo, docile, cessa de se toucher. Sylvie agrippa les mains de sa lécheuse, les amena au creux de ses genoux, à la jointure jambes/cuisses. Elle incita Marie-Jo à lui ouvrir encore plus ...
«12...91011...22»