La bonne, la brute et la toubib
Datte: 10/09/2018,
Catégories:
f,
ff,
fsoumise,
Masturbation
massage,
intermast,
Oral
Lesbienne
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... voir sa réaction, elle lui confessa qu’aucun homme ne l’avait touchée depuis un an, qu’elle en avait vraiment aucune envie, et après une feinte hésitation, que ses seules relations avaient été avec Cécile.
Sylvie lui raconta alors un épisode saphique dont elle avait été l’une des protagonistes. À partir de cet instant, les feux étant au vert, leurs gestes devinrent plus suggestifs. Leurs mains s’effleuraient, elles se touchaient les bras à chaque occasion. Perdant toute retenue, Marie-Jo posa même la main sur une cuisse à la lisière de la jupette. L’autre ne protesta pas. Elle avança, au contraire, son bassin, ce qui fit passer la main sous la jupette à la limite du triangle amoureux. La situation allait basculer… Un fichu portable sonna, une sonnerie ridicule en plus. Instantanément, la belle amazone fut sur ses pieds, la main dans son sac. Elle décrocha.
— Oui !
— …
La conversation fut courte. Elle ne répondit que par onomatopées et termina par un « OK » rageur avant de raccrocher.
— Désolée, Marie-Jo ! Le boulot ! Il faut que j’y aille. Tu peux me donner mon jeu de clés.
Fin de la récré…
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Là, ça craint
Sylvie ne réapparut pas avant la fin de la semaine suivante. Cependant, le mercredi soir en rentrant du boulot, Marie-Jo vit qu’elle était passée à l’appart. Elle trouva un post-it qui lui demandait « gentiment » si elle pouvait laver les quelques fringues qu’elle avait posées à la buanderie. Une demi-seconde, Marie-Jo la trouva vraiment ...
... gonflée : elle n’était pas sa bonne. Elle les avait stockées en vrac dans un sac IKEA. Par curiosité, elle ouvrit le sac. Quand elle les vit, elle se demanda si elle ne les aurait pas choisies intentionnellement : des tenues de muscu imprégnées d’odeurs corporelles mêlées aux effluves de son parfum. Une idée malsaine naquit lentement dans son esprit perturbé : ces fringues l’émoustillaient. Elle les huma longuement. Les odeurs, c’était pourtant pas son truc. Jean-Frédéric l’appelait Miss Rexona. Mais là, presque à son insu, sa main avait glissé sous sa robe, massait doucement une chatte brûlante (non, elle n’était pas sur un toit). Du fond du sac, elle retira quelques soutifs de sportive sans grand intérêt et surtout un lot de petites culottes brésiliennes.
Comme une chienne de chasse (en rut), elle les renifla tour à tour, s’enivrant de ces fragrances diverses. De certaines émanait une désagréable odeur d’urine. Mais la dernière… Elle identifia immédiatement le fumet caractéristique de la cyprine séchée. Elle n’avait pas coulé qu’un peu. Toute la partie avant du brésilien rouge était recouverte par une tache blanchâtre. À cette seconde, Marie-Jo péta un câble, largua les amarres. Elle lécha cette tache comme si elle avait léché le minou de Sylvie. D’ailleurs, c’était le minou de Sylvie. Décollage immédiat, vol sans escale. Quel pied ! Quand elle reprit ses esprits, elle était adossée à la machine à laver, deux doigts enfoncés dans sa chatte, la culotte dans l’autre main. ...