1. La bonne, la brute et la toubib


    Datte: 10/09/2018, Catégories: f, ff, fsoumise, Masturbation massage, intermast, Oral Lesbienne Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... Par contre, les humiliations apparaissaient souvent au menu en privé et parfois, puis de plus en plus fréquemment, en public. Elle s’en tenait généralement à des remarques sur le physique, les tenues. En terrasse d’un café, l’amazone marquait sa propriété, passant la main ouvertement sous la jupe de son amie. Quelque part ces petits jeux excitaient et inquiétaient Marie-Jo. Le plus souvent, elles se concluaient par une bonne partie de baise.
    
    Sylvie voulait que Marie-Jo maigrisse, qu’elle fasse un régime, qu’elle soit plus présentable (cette remarque, Marie-Jo la prit plusieurs fois dans la figure, généralement en présence de tiers). Finalement, devant son peu de réactions, elle l’inscrivit, sans lui demander son avis, dans le club où elle pratiquait la musculation. Dans la salle de sports, ses humiliations prirent alors une autre dimension. Ses remarques devinrent agressives, répétitives. Elle en fit tant que Marie-Jo accepta qu’elle la présente à une de ses potes nutritionniste.
    
    Se produit alors le premier dérapage qui fit réagir Marie-Jo.
    
    Sylvie tint à l’accompagner pour la première visite. Dès la première seconde, Marie-Jo se rendit compte que sa complicité avec la toubib excédait largement un simple rapport patient/médecin. Maxine, elle s’appelait ainsi, demanda à Marie-Jo de se déshabiller avant de se peser. En prévision, celle-ci s’était habillée sagement : une culotte noire et un soutif assorti, les deux très pudiques.
    
    — Montez sur la balance, s’il ...
    ... vous plaît.
    — Attends, elle ne va pas se peser avec ses sous-vêtements, intervint son « amie ».
    
    Marie-Jo regarda alternativement Sylvie et Maxine. Cette dernière allait dire : « Ça ne fait rien ». Elle le lut dans ses yeux, mais l’autre lui lança ce regard impérieux qu‘elle commençait à connaître.
    
    — En effet, il vaudrait mieux que vous soyez nue. La mesure serait plus précise.
    
    Ça s’emmanchait mal. Marie-Jo pressentait le coup fourré. Et elle n’avait pas envie de se faire fourrer de cette façon. Pas que Maxine soit laide, au contraire : dans sa stricte blouse blanche cachant ses formes, avec ses longs cheveux bruns retenus en une stricte queue de cheval, elle était suffisamment mystérieuse pour être sexy. Et surtout, elle avait un regard d’où émanait une évidente bonté/compassion. Marie-Jo n’avait rien contre un éventuel trio, mais pas en jouant le rôle du pigeon et pas en soumission à Sylvie. Elle ne l’avait jamais accepté de Jean-Frédéric. Ça avait été sa limite eta posteriori sans doute une des raisons pour lequel celui-ci l’avait jetée.
    
    Elle se déshabilla. Nouveau coup d’œil entendu de Sylvie à sa complice.
    
    — Y’a du boulot, hein ?
    — Rien dont un bon entraînement et un régime sérieux ne puissent venir à bout, répondit Maxine, encourageante.
    — Oui, mais tu as vu ces bourrelets, continua-t-elle en pinçant les poignées d’amour.
    
    La garce, Marie-Jo l’aurait bouffée. Elle avait déjà souvent été humiliée en public, mais Maxine lui était sympa. Elle, toujours ...
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