1. La bonne, la brute et la toubib


    Datte: 10/09/2018, Catégories: f, ff, fsoumise, Masturbation massage, intermast, Oral Lesbienne Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... pas tomber. Sous prétexte de lui soutenir les fesses, Sylvie les avait prises en mains. Majeurs et annulaires enfoncées dans la raie pressaient un petit trou frémissant. Elle introduisit sa langue, toujours largement étalée, entre les grandes lèvres. Elle s’en servit comme un petit pénis pénétrant aussi profondément qu’elle le pouvait. Le fit-elle exprès, ou est-ce un hasard, mais son nez vint lutiner un clitounet exacerbé. Ce fut la déferlante. Des étoiles scintillèrent devant les yeux de la suppliciée. Elle jouit comme une folle. Elle lâcha tout. Surtout le lavabo. Si sa tortionnaire ne l’avait retenue, elle allait se scratcher sur le carrelage. Reprenant ses esprits, blottie contre Sylvie, elle ne put que dire :
    
    — Tu m’as tué, mon amour.
    
    L’autre la releva narquoise.
    
    — Je te devais bien ça. Par contre, mon amour, tu évites, c’est d’un ringard !
    
    Le chaud et le froid, sa spécialité. Marie-Jo se sentait revenir plusieurs mois en arrière. Était-elle condamnée à subir les humiliations des personnes qu’elle aimait. Surtout que la salope ne se contenta pas de cette première bâche. Sans lâcher sa main, elle la fit tourner plusieurs fois sur elle-même pour apprécier sa plastique. Apprécier, c’est un euphémisme. Elle attaqua très fort.
    
    — Ton cul est vraiment confortable, dit-elle en palpant les fesses sans ménagement. Et ça manque de fermeté.
    
    Marie-Jo était pétrifiée. Elle croyait entendre Jean-Frédéric.
    
    — Ensuite, ton minou ! C’est quoi ce truc broussailleux ! ...
    ... J’en ai pris plein le nez. J’espère que j’en ai pas entre les dents. Va falloir que tu fasses quelque chose.
    
    La garce. Dans ses yeux, le plaisir qu’elle prenait à rabaisser sa victime était manifeste.
    
    — Quant à tes seins, ils sont gros, mais ils s’affaissent grave. Regarde.
    
    Sadique, elle les lui souleva, l’un après l’autre pour ensuite les laisser retomber avant de recommencer la manœuvre avec les deux. Marie-Jo avait vraiment la honte. Cette nana était une vraie garce. Elle se sentait d’autant plus pitoyable que ça lui faisait chaud au ventre. Au bord des larmes, cette salope l’humiliait et ça l’excitait. Elle se posait de plus en plus de questions sur sa santé mentale…
    
    — Ne pleure pas Marie-Jo, soupira Sylvie en récupérant une larme du bout du doigt qu’elle porta immédiatement à ses lèvres. Tu es très sexy, mais tu pourrais l’être beaucoup plus. Tu vas voir.
    
    Le soir même, elle s’occupait de son minou. Pas n’importe comment ! Lorsqu’elle eut fini, il ne restait qu’une mince bande de poils taillés ras qui dessinait un S. Toute explication était inutile.
    
    *************
    
    Humideliation
    
    Peu à peu, s’installa, entre elles, une complicité hiérarchisée. Pas une domination franche, mais induite. Évidentes dans les jeux amoureux où Sylvie décidait quand et comment. Plus insidieuse dans la vie quotidienne où, si Marie-Jo restait le larbin pour les lessives et autres repassages, toutes deux collaboraient pour la cuisine. Elles décidaient en commun pour les sorties. ...
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