La bonne, la brute et la toubib
Datte: 10/09/2018,
Catégories:
f,
ff,
fsoumise,
Masturbation
massage,
intermast,
Oral
Lesbienne
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... fourreau.
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J’ai retrouvé ma culotte
Lorsque Sylvie gagna sa chambre, après un semblant de bonjour le mercredi soir, elle trouva ses sous-vêtements lavés et pliés sur son lit. Au-dessus de la pile, bien en évidence, le brésilien bien crade. Elle ne pouvait le rater, elle ne le rata pas. Elle revint dans le salon, tenant d’un air dégoutté du bout des doigts, l’objet du délit.
— C’est quoi ça ? l’interpella-t-elle.
— Ta culotte, répondit Marie-Jo niaisement.
— Tu ne l’as pas lavée et elle n’était pas aussi dégueulasse que ça.
— J’ai rajouté ma touche enfin plutôt ma tache personnelle.
— Tu te trouves drôle ? Approche.
Hypnotisée par son regard métallique, elle approcha. Arrivée à bonne distance, elle la souffleta violemment avec la culotte. Une gifle pour chaque joue. Elle la jeta par terre et cracha :
— Ramasse-la et va la laver. Et ne recommence jamais ça.
Bien sûr, Marie-Jo aurait dû l’envoyer chier. Au lieu de cela, penaude, elle gagna la salle de bain en pleurnichant et fit couler de l’eau dans le lavabo.
Alors qu’elle frottait furieusement la soie, un corps vint se coller au sien.
— Je suis désolée, Marie-Jo. C’est le boulot. En ce moment, je passe des journées horribles, lui murmura-t-elle au creux de l’oreille.
Des lèvres couvrirent son cou de petits baisers mouillés. Des mains expertes s’étaient emparées de ses grosses loloches. De leur paume, elles en excitaient les tétines.« Et t’as aussi passé un sale dimanche à baiser ...
... avec un mec », pensa Marie-Jo. Mais, déjà, ses sens la trahissaient. Ses seins durcissaient, ses tétons bandaient, sa chatte baignait dans son jus. Elle vacillait sur ses jambes qui s’entrouvraient quémandeuses.
Dégageant son t-shirt de son jean, Sylvie le fit passer par-dessus la tête et le jeta dans la baignoire. Son soutif prit la même direction. Marie-Jo, instinctivement, avait posé ses deux mains sur le lavabo et n’osait bouger.
— Continue de laver ma culotte, chérie, lui susurra sa belle amazone en pinçant ses gros tétons.
Marie-Jo reprit son lavage. S’accroupissant, Sylvie la débarrassa de ses mules ; elle dégrafa son jean qu’elle fit glisser sans trop de précautions le long de ses jambes, entraînant la culotte dans le même mouvement. Ils rejoignirent le soutif et le t-shirt.
— Alors, ça avance ce lavage ?
Marie-Jo, perturbée par les agissements de l’autre, n’y mettait guère d’enthousiasme. Son corps, dans l’attente, était suspendu au moindre attouchement.
— Mais tu baves, railla Sylvie en touchant une chatte plus qu’humide. Je peux pas te laisser comme ça. Tourne-toi et appuie-toi contre le lavabo.
Agenouillée, plaçant les mains sur les genoux de Marie-Jo, elle écarta ses jambes. Après avoir lissé sa toison du plat de la langue, elle commença à laper une mouille abondante. Partant du périnée, elle remontait jusqu’au bouton. Plus, elle léchait, plus Marie-Jo coulait. Ses jambes avaient la tremblote. Elle se cramponnait au rebord du lavabo pour ne ...