1. La bonne, la brute et la toubib


    Datte: 10/09/2018, Catégories: f, ff, fsoumise, Masturbation massage, intermast, Oral Lesbienne Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... s’envolèrent, le lundi soir, quand en rentrant du boulot, elle trouva un nouveau paquet de sous-vêtements sales, posés à même la table accompagnée de l’inévitable post-it :
    
    Sa première réaction fut de tout passer à la poubelle et de l’envoyer se faire foutre. Mais ses yeux tombèrent sur un brésilien en soie tapissé de taches blanchâtres. À l’insu de son plein gré, elle s’en empara et le porta à ses narines. D’entrée une fragrance qu’elle reconnaissait stimula ses sens. Une autre odeur qu’elle connaissait aussi que trop supplanta le fumet aphrodisiaque de Sylvie. Cela la refroidit momentanément. La salope avait baisé avec un mec et il avait, si elle en jugeait par le nombre de taches, longuement éjaculé.
    
    Si elle voulait la rendre jalouse, elle avait parfaitement réussi son coup. Une onde de colère la transperça. Elle la maudit jusqu’au moment où elle constata l’humidité de sa culotte : sa chatte était trempée. Au-delà de la jalousie, cette situation l’excitait. Elle lâcha le brésilien et se prit la tête à deux mains. Qu’est-ce qui lui prenait ? Ce qu’elle avait subi avec Jean-Frédéric ne l’avait pas guérie ! Est-ce que ça l’avait complètement désaxée ? Était-elle maso ? Jalouse, c’était quoi ce truc ? Avec son ex, elle avait eu salement l’occasion de l’être, mais ça ne lui avait jamais pris la tête comme ça. Mouiller en reniflant une culotte ! D’une femme, qui plus est ! Cécile avait été sa seule expérience du lesbianisme, et encore par hasard. Était-elle gouine ? ...
    ... Toutes ces idées qui tourbillonnaient dans son cerveau, sans qu’elle puisse les maîtriser, la rendaient folle.
    
    Soudain, au-delà de toute sa réflexion, une idée démente, tordue, prit naissance. Elle se délesta de son jean et de sa culotte. Elle s’installa dans son divan, cuisses ouvertes et entama une lente masturbation avec le brésilien souillé. Elle promena la frêle étoffe entre ses lèvres, l’inséra doucement dans son vagin bien lubrifié. S’aidant de l’index et du majeur, elle la poussa à l’intérieur de son puits d’amour. Quand elle eut disparu totalement à l’intérieur, elle referma ses cuisses et les frotta l’une contre l’autre. Les doux glissements de la soie contre ses parois provoquaient des sensations inconnues et troublantes. Sylvie était en elle. De l’extrémité de l’index, elle dessinait des cercles concentriques sur et autour de son bouton. Yeux fermés, visage crispé, respiration haletante, elle fut secouée par une violente et silencieuse jouissance. Son doigt continua ses caresses prolongeant son extase. Il en généra une seconde qui faillit la faire tomber du divan. Elle s’écroula en chien de fusil, apaisée. Elle resta ainsi un long moment savourant cette culotte trempée qui la remplissait. Elle s’assoupit. Quand elle réintégra la réalité, elle pleura à chaude larme. Elle ne se reconnaissait pas ! Ses pleurs s’asséchant, une idée machiavélique naquit dans son esprit. Elle sortit le brésilien imbibé de ses secrétions qui était resté jusqu’à là dans son chaud ...
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