1. La bonne, la brute et la toubib


    Datte: 10/09/2018, Catégories: f, ff, fsoumise, Masturbation massage, intermast, Oral Lesbienne Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... les cuisses. Du bout de sa langue pointue, celle-ci se délectait de ce jus qui, sans discontinuer, telle une source miraculeuse, suintait de lèvres plus du tout closes. Elle lapait, léchait. Langue à plat, étalée, elle la mignardait, de son petit trou frémissant à son clito bourgeonnant. Sylvie, abandonnant les bruyantes onomatopées, geignait comme un petit chiot. L’intensité de ses miaulements variait selon le positionnement de la langue devenant suraiguë lorsque celle-ci atteignait sa tige. Son plaisir générait celui de Marie-Jo. Chaque fois qu’elle partait en vrille, cette dernière était à deux doigts de l’orgasme.
    
    — Suce-moi.
    
    Inutile de demander ce qu’elle voulait. La lécheuse devint suceuse et ses lèvres aspirèrent le bouton et le tétèrent avec une avide délicatesse. Sylvie croisant les jambes sur le dos de sa partenaire ventousa la bouche d’icelle à son clito. Le nez chatouillé/irrité par les poils rendait la respiration de Marie-Jo difficile ! Elle n’en avait cure, elle continuait son ouvrage. Soudain un long cri. Sylvie brutalement referma ses jambes projetant Marie-Jo vers l’arrière ; celle-ci se retrouva, très conne, assise sur son gros cul. Sa belle amazone, rassasiée, la regardait, amusée.
    
    — Maintenant, tu peux te caresser. Je veux te voir jouir.
    
    Marie-Jo voulut protester, mais le regard impérieux que lui jeta Sylvie l’en empêcha. Elle se mit à genoux, face à elle, entrouvrit les jambes. Son index, se frayant un chemin dans sa toison luxuriante, se ...
    ... posa sur son clitounet et entama une caresse en rotation. Elle était tellement excitée qu’elle grimpa aux rideaux en quelques secondes. Contrairement à Sylvie, elle avait l’extase silencieuse. Elle extériorisa son plaisir par un grand soupir, genre ballon de baudruche qui se dégonfle suivi d’un relâchement total de tout son corps. Elle s’affala sur sa compagne qui la prit dans ses bras. Leurs bouches se mêlèrent. Ce tendre baiser les transporta au seuil d’une nouvelle jouissance. Marie-Jo, pour son plus grand malheur, était amoureuse.
    
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    Où est-ce que j’ai mis ma culotte ?
    
    Après cette montée au septième ciel, l’atterrissage et le retour à la réalité furent douloureux. Elle se voyait déjà… Madame, la séance terminée, reprit ses distances. Elle refusa la douche commune. Elle dut attendre que sa coloc’ ait fini avant de prendre la sienne. Quand Marie-Jo en sortit, Sylvie était partie. Une nouvelle fois, elle avait laissé un post-it où elle la remerciait pour le massage et lui souhaitait une bonne soirée. Ces post-it allaient devenir son moyen de communiquer. Marie-Jo, super humiliée, passa sa soirée à chouinasser devant une télé compatissante. L’autre ne reparut pas du week-end.
    
    Il n’était pas question qu’elle se fasse avoir par cette femme. Elle s’était fait baiser, au propre et sur la fin surtout au figuré, pendant près de trente ans par un pervers narcissique ce n’était pas pour repiquer au truc avec une beauté égocentrique. Toutes ses bonnes résolutions ...
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