1. Est-ce bien raisonnable ?


    Datte: 25/06/2023, Catégories: fh, fplusag, profélève, ffontaine, caresses, Oral pénétratio, Humour totalsexe, Auteur: Ludivine de la Plume, Source: Revebebe

    ... le canapé en secouant la tête comme pour me débarrasser d’une idée obsédante. Et en veillant à me tenir bien droite pour éviter de plisser du ventre comme un sharpei, on a sa fierté.
    
    — Anatole, Anatole, on va se poser deux minutes, là, et réfléchir !
    
    Il sourit, se passe la main dans les cheveux, vient s’asseoir à côté de moi. Il est magnifique.
    
    — OK, on réfléchit : j’ai envie de vous, vous avez envie de moi, nous sommes deux adultes consentants, je ne vois pas où est le problème. Et tu es trop belle comme ça, en jean et les seins nus, les cheveux en bataille, j’ai envie de te dévorer…
    
    La dernière phrase dite en serrant les dents, avec un regard à faire fondre Madame Thatcher elle-même. Mais sait-il au moins qui est Margaret Thatcher ? Je secoue la tête et réponds :
    
    — Soit. Mais après ? Jeudi, je fais cours, l’air de rien, vous êtes en face de moi et personne ne voit rien ?
    
    Je m’accroche au vouvoiement comme à une bouée de sauvetage, dernier rempart de la raison. Il reprend :
    
    — Je serai discret, je me mettrai au milieu, vous ne m’adresserez pas un regard et ils n’y verront que du feu. Ce sera hyper excitant. Je l’ai déjà fait, je suis sorti avec ma prof de philo en Terminale, ça a duré trois mois et personne n’a jamais rien su.
    — C’est pathologique, chez vous, vous vous tapez toutes vos profs, comme ça ? Vous avez essayé la prof de droit aussi, elle est jolie, non ?
    
    Il rit :
    
    — Non, pas toutes mes profs, seulement celles qui me plaisent vraiment. ...
    ... Madame Lefèvre est très jolie, mais elle est froide. Elle ne m’inspire rien, alors que vous…
    
    Dans un soupir il se penche vers moi et dessine des arabesques du bout du doigt sur ma peau, passant entre mes seins, derrière mon cou, sur mon ventre… c’est terriblement excitant, j’en ai la chair de poule, d’autant plus qu’il me regarde droit dans les yeux. Le torticolis me menace, mais la tension de son regard m’hypnotise, la brûlure de ses doigts sur ma peau et ses paroles m’électrisent :
    
    — Vous… vous avez ce truc dans les yeux, cette étincelle qui dit que vous aimez ça, que vous savez vous lâcher. Ça se voit aussi à votre façon de bouger et de réagir quand je vous touche, les reins qui creusent, la chair de poule, vos yeux qui se troublent, j’adore ! Vous avez respiré ma peau en enlevant mon T-shirt, vous savez jouir de tous vos sens, ça se voit. Laisse-toi aller, arrête de penser, lâche prise…, me souffle-t-il alors à l’oreille
    
    Tandis que j’abandonne tout contrôle de la situation. Je m’accroche encore au vouvoiement et à l’ironie distanciée :
    
    — Quelle maîtrise du discours, dites-moi, quelle expertise pour votre âge, je suis impressionnée, ça promet d’être intéressant, en effet.
    
    Mais mon corps prend eau de toutes parts et ma raison est déjà vaincue.
    
    Il m’embrasse encore puis fait descendre ses lèvres le long de mon cou, le long de mon corps, et s’agenouille devant moi. Déboutonne mon jean. Embrasse la peau tendre de mon ventre. Caresse mes fesses, mes cuisses, fait ...
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