1. Est-ce bien raisonnable ?


    Datte: 25/06/2023, Catégories: fh, fplusag, profélève, ffontaine, caresses, Oral pénétratio, Humour totalsexe, Auteur: Ludivine de la Plume, Source: Revebebe

    ... glisser jean et culotte le long de mes jambes qu’il embrasse, lèche et mordille tour à tour. Je cambre mes reins et me cramponne à ses cheveux, j’ai fermé les yeux, je savoure. Chaussures et chaussettes ont valsé, suivies par le jean. Me voilà nue sur son canapé, littéralement trempée, les taches ne partiront pas sur le cuir…
    
    — Je vais ruiner ton canapé, chuchoté-je.
    
    Réflexe de mère de famille à quoi il répond :
    
    — Si tu savais comme je m’en fous de mon canapé.
    
    Le nez dans mon giron, il semble en effet à mille lieues de ces considérations matérielles, il me hume, me respire, me goûte à petits coups de langue avide, et c’est délicieux.
    
    Je m’abandonne à sa bouche, ouvrant mes jambes et agrippant ses cheveux de plus belle. Sensation fantastique sans cesse renouvelée, décharges électriques, fourmillement des terminaisons nerveuses, spasmes et contractions, gémissements, grognements, tout n’est que sensations, cerveau rationnel aux abonnés absents, Dieu que c’est bon, je tressaille, me tends comme un arc, ma tête part en arrière en mouvements incontrôlés, une dernière contraction, un cri bref… et voilà le canapé inondé. Anatole se redresse, le visage trempé comme un fauve après la curée. Surpris et amusé, il goûte sur ses lèvres ce mystérieux liquide cristallin.
    
    — Non ? dit-il, l’air d’avoir découvert l’Amérique, une femme-fontaine ? Putain, ça existe vraiment alors ! Tu vois, reprend-il triomphant, je le savais bien que j’adorerais te baiser. Crois-moi je n’en ai ...
    ... pas fini avec toi.
    
    Et moi d’abandonner définitivement toute retenue :
    
    — Moi non plus, je le crains, réponds-je en déboutonnant son jean, le regard planté dans le sien, mon sourire post-orgasmique accroché aux zygomatiques.
    
    Son appétit a éveillé le mien et à mon tour je m’agenouille au bas du canapé, avide de découvrir sa queue. Elle me plaît, elle est large et droite et sur son bout luisant perle mon délice, son goût est délectable et je fonds en la dégustant, son contact sur mes lèvres m’électrise à nouveau, je pourrais jouir encore rien qu’à cette sensation, je cramponne ses fesses fermes et assure ma prise. Il profite et gémit, le corps cambré, les mains sur mes épaules, mais bientôt me retire ce plaisir et s’agenouille devant moi, me regarde au fond des yeux et murmure :
    
    — C’est dément comme tes yeux sentent le cul. Je te veux, Léonore, je veux te baiser, je veux te baiser fort. Tu veux que je te baise maintenant, Léonore ?
    
    Clairement en ce moment précis je ne veux rien d’autre au monde, je pourrais tuer pour ça, je ne suis qu’attente de ce moment où il me pénétrera et je réponds en soutenant son regard :
    
    — Oh oui, je le veux, baise-moi, baise-moi maintenant. Et, d’une voix suave qui contredit mon regard carnivore j’ajoute : d’ailleurs, si tu ne le fais pas, je te tue.
    
    Et donc… Il m’entraîne dans sa chambre, me prenant par la main, c’est mignon. Tandis que nous parcourons les quelques pas nécessaires, je me régale du spectacle de ses fesses rondes et ...
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