Burnes-out - Histoires de Sexe

Burnes-out

... c’est super pour l’homme.

Qu’est-ce que je disais ?

Je tends la main. Avant de me le donner, elle se gobe avec toujours ce vice dans le regard.

Je l’ai. Elle s’allonge sur moi de tout son poids, car elle passe ses bras en arrière et je devine que ses mains sur les fesses l’ouvrent pour moi. Il se frotte contre moi. À tâtons je trouve son petit trou béant. Je pousse la pointe de métal. Je sens aussitôt sa présence contre ma queue toujours au chaud. Je devine la corolle l’étouffer, mais dès que la pointe est passée, l’arrondi particulier transforme la puissance du sphincter en force de pénétration. Il s’encule lui-même.

Elle se redresse. Sa grotte déjà étroite est devenue serrée. Elle bouge.

— Tu es gros.

Alors, sans réfléchir je bouge. D’un coup de reins, je la repousse. Je me lève, l’attrape par la main pour la diriger contre le secrétaire. D’une main ferme, je plaque son torse sur le meuble, du pied je lui fais écarter les jambes, mon autre main aide mon bâton à retrouver le chemin de sa fente. En passant, mon gland touche le disque brillant du plug, puis, dès qu’il détecte une ouverture, s’y glisse, me faisant passer le signal que c’est libre.

— Ahhhhhh !

Je l’ai enfilée d’un coup de rein. Un coup de reins qui en appelle d’autres. Chacun est reçu avec un soupir, un « Ahhh » qui ne cesse que lorsque je me retire assez pour pouvoir la bourrer à nouveau.

Je m’accroche à ses hanches. Pas un poil de graisse, je dois lui faire mal avec mes ...

... ongles, mais elle ne proteste pas.

— T’aimes ça, hein ?

Je n’attends pas de réponse… C’est juste des paroles qui participent à cette envie de la baiser et à lui faire sentir que je ne suis pas qu’une rencontre qu’il faut remercier, même si elle aussi a envie, pour l’avoir sortie d’un mauvais pas.

— Oui, c’est bon.

Elle assume. La salope. Quand je pense qu’elle avoue sans aucune honte avoir déjà baisé avec deux garçons et qu’un troisième ne lui aurait pas fait peur s’ils y avaient mis les formes.

— Tu n’es qu’une jeune pute. Je vais te montrer, moi, ce que je fais aux putes comme toi.

Elle ne proteste pas. Elle s’accroche avec ses deux mains à la table que je secoue tant je la bourre avec délice. À chaque fois que je me retire et que mon ventre quitte ses fesses, mon regard croise le reflet de ce disque métallique. Jamais je n’aurais pensé qu’à vingt ans on utilise déjà ce type d’accessoires. Cette vision soutient mon envie.

Je la baise de plus en plus fort, de plus en plus vite. Ses gémissements, ses cris, ses soupirs sont des musiques qui alimentent autant le physique que le mental. Le plug est devenu un complice. J’ai glissé mon pouce dans son sillon et lorsque je vais à fond, j’appuie dessus pour qu’il avance un peu. En me retirant, il est lui-même attiré, mais sa forme l’empêche d’aller plus loin.

Mais il participe.

J’attrape ses épaules. Je la cambre. Elle se décolle de la table. Ses seins pendent et mon va-et-vient fait que ses tétons doivent ...