Burnes-out - Histoires de Sexe

Burnes-out

... bien sucer un mec ?

Elle gémit et m’encourage. C’est bon d’entendre ses « Oui… Oui… Encore… Là… » C’est bon de la sentir perdre pied. Merci, Clara, pour tes conseils. Conseils intéressés, car tu en étais la première concernée, mais qui tout au long de mes rencontres m’ont assuré les compliments de ces Dames.

Elle jouit. Elle se cabre, referme ses cuisses sur ma tête, m’emprisonne contre son intimité. Je sens son jus qui coule. Elle est du genre « généreuse » et ne peut cacher son plaisir.

Elle se calme, se relâche, me libère.

Elle semble me redécouvrir.

— C’était… Ohhh, tu sais y faire.

Je lui réponds d’un sourire en me relevant. Elle découvre mon érection, l’apprécie, car tout en attrapant son sac qui est sur le lit :

— Attends, j’ai des capotes.

Elle en extrait un sac de tissu qu’elle ouvre et renverse sur le lit. Tombent deux boîtes, une de capote, l’autre manifestement des lingettes intimes, mais aussi un sex-toy bleu et un plug métallique. Elle voit mon regard :

— Mon copain aime bien…

Décidément, les jeunes de maintenant. Quoique, en y réfléchissant bien…

Elle extrait une capote et se penche vers moi pour la dérouler sur mon sexe. Elle le fait lentement, comme une pro, certaine de l’effet que cela produit.

Me voilà équipé. C’est l’inconvénient des rencontres d’un soir, l’obligation de se protéger.

Elle se rallonge. Elle m’attend. Sa chevelure rousse lui donne une touche encore plus coquine.

Je m’installe en face.

Ses jambes ...

... pendent, ouvertes.

Une flexion, mon dard guidé d’une main, l’autre posée sur le lit, mon gland pointe.

C’est chaud, humide.

Une poussée et je fais mon chemin.

C’est bon, étroit, mais glissant, grotte que sa mouille a lubrifiée, et sans être prétentieux, son envie de moi…

C’est bon. Déjà mon ventre est contre le sien et j’apprécie ce « Ahhhh » qui a accompagné la possession.

Je bouge. Mais c’est manifestement trop délicat pour elle. Le « viens, viens… » est une invitation que tout homme comprend.

Je la baise. Elle m’entoure de ses jambes et ses talons sur mes fesses sont des accompagnateurs qui participent au rythme.

Elle bouge, me renverse pour venir sur moi sans que ma queue ait quitté un seul instant la chaleur de sa grotte.

Elle me chevauche. C’est une cavalière exigeante qui demande plus qu’un pas de promenade. Le trot est le minimum de sa chevauchée.

Elle se tient droite, puis se penche en avant pour me proposer ses seins avec des tétons qui dénoncent la femelle. Elle me les donne à sucer, à caresser. Mais m’en prive pour se relever, droite, se caressant le clito d’une main, un sein de l’autre.

Elle fait plaisir à voir. J’adore la façon dont sa chevelure ondule – cachant son visage – chassée en arrière d’un mouvement de tête. J’ai toujours aimé les rousses. Souvenirs de jeunesse.

Rousse et vicieuse. Vingt ans et déjà experte ! Elle attrape le plug qui est resté sur le lit.

— Tu veux me le mettre ? Tu as déjà fait avec ? Il paraît que ...