Burnes-out - Histoires de Sexe

Burnes-out

... son chemisier, elle attaque son soutif…

— Lilou ? Tu fais quoi ?
— Attends !

Son jean, sa petite culotte…

— Lilou, arrête tout de suite.
— Encore une minute et j’ai fini.

Elle sort de son sac, le sac fourre-tout d’où l’autre soir j’avais découvert qu’elle était bien plus coquine qu’une fille classique, une pochette.

Le haut, top blanc en V dont elle attache les deux lacets juste sous les seins.

La jupette à carreau rouge, ras des fesses, avec un liseré blanc imitation dentelle.

Elle me montre un mini slip de la même couleur que la jupette.

— Tu crois que je dois le mettre, ou rester comme ça ?

Le « comme ça », elle me le montre en tournant sur elle-même. Le V du top laisse voir ses lobes et deviner par transparence les aréoles et les tétons.

Le « comme ça », immobile, ne peut que donner envie de remonter le regard sous la jupette.

Le « comme ça », en tournant, montre son intimité et le reste.

— Alors ?

Elle demande. Comme je suis bouche bée, elle ...

... insiste.

— Et le plug ? Je pourrais le mettre aussi. Ça fait écolière cochonne, non ?
— Lilou, écoute, je…
— Ah, j’ai oublié ça.

Elle sort une mini cravache.

— Ce n’est pas que j’aime les coups, mais j’imagine qu’on peut demander plus.

Elle sourit. Elle est totalement à l’aise, décomplexée.

Et puis elle prend un air contrit, elle renifle, ses yeux se remplissent de larmes, elle avance :

— Je n’ai pas été sage. Je me suis dissipée à l’école. J’ai été une vilaine fille…

Elle avance. Elle est juste en face de moi. Elle s’amuse, joue le rôle qu’elle s’est donné.

— Je mérite une fessée. Punissez-moi, Monsieur, je suis vilaine…

Elle me provoque.

Alors saisi d’une envie irrésistible, je l’attrape par la main, la tire vers moi, la fais se pencher, s’allonger en travers de mes cuisses.

— Oui, Monsieur, fessez-moi.

Ma main se lève. Ses fesses sont découvertes, le tissu écossais semble avoir disparu. Je vais la frapper. Elle me regarde.

Toute une éducation à refaire, à parfaire…