Burnes-out - Histoires de Sexe

Burnes-out

... Elle s’attaque à ma ceinture tout en embrassant mes tétons. Je m’étonne qu’une fille de son âge connaisse ce que les hommes refusent d’admettre, leur partie féminine.

Mais ce n’est qu’une mise en bouche. Très vite, elle détourne son intérêt vers un téton, plus bas, plus gros, plus long, qui ne se tient pas encore bien droit, mais que sa bouche et sa langue se chargent de réveiller.

Sa chevelure rousse est magnifique. J’y perds mes mains.

— Laisse-moi faire.

Elle les repousse, pensant que je veux la diriger. Elle n’en a pas besoin. Elle sait exactement ce qu’il faut faire. Un instant, j’ai son image avec deux garçons. À son âge, déjà baiser avec deux mecs. Olga a raison, c’est une génération « porno ». Déjà lorsque j’étais jeune on commençait à avoir accès à des K7 à des films, mais j’ai le souvenir qu’ils racontaient un minimum d’histoire pour « amener » les scènes de cul. Maintenant, c’est l’exploit qui compte…

Un exploit qui me va bien, maintenant, avec cette jeunette manifestement pas farouche pour accepter un autre partenaire avec son copain, libertine avant l’âge, mais dont la grande bouche à la Julia R. & Consœurs facilite la fellation.

La salope, elle me gobe, elle me suce, elle me lèche, elle me pompe en creusant les joues dans une aspiration que même sa jeunesse n’excuse pas. Notre monde a engendré des salopes, des putes, des chiennes, mais elles ne sont pas vraiment responsables, elles ne font que répondre à la demande d’un marché libéral que même ...

... le plus libéral des économistes n’avait pas imaginé. Toutes femmes, épouses, maîtresses, se doivent de se mettre au niveau de la réalité augmentée des sites de cul. C’est même étonnant qu’elles n’abandonnent pas leurs époux, amants blancs de peau pour ne se consacrer qu’aux blacks qui saturent la toile de leurs exploits ; couilles qui libèrent leur foutre en litres, bite que le centimètre ne suffit pas à mesurer et qu’il faut remplacer par le pouce « Inch », nouvelle référence universelle.

Pour l’instant, je n’ai pas à me plaindre. La gorge est profonde, la salive généreuse, les grognements excitants, le regard vicieux, les mains lestes et caressantes n’hésitant pas à explorer ma rondelle.

Vingt ans et déjà le vice dans la peau. Non, pas le vice, on ne peut pas reprocher à cette gamine de se mouler dans l’air du temps. Ce sont les adultes, ses parents qui auraient dû lui apprendre la vraie vie.

Je me souviens que dans ma jeunesse… Oh, je n’ai pas à faire le malin, en y réfléchissant, j’aurais bien eu besoin d’un minimum de formation avant de passer à l’acte. Je me souviens – et la honte se rappelle à moi – de mes premières fois avec ma copine de l’époque. Elle était comme moi, novice, même si nous avions envie l’un de l’autre. Je me souviens de la difficulté de la première fois. Je croyais qu’elle ne voulait pas – se refusait – son sexe fermé et sec, alors que maintenant je sais que ce n’était qu’une sécheresse vaginale. Pénétrations douloureuses… Plaisir pas au top… ...