Burnes-out
Datte: 20/06/2023,
Catégories:
fh,
hplusag,
frousses,
vacances,
hotel,
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
jouet,
confession,
totalsexe,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... lentement et la faire durer.
Elle m’a offert sa gorge pour que je jouisse en elle.
Elle m’a offert son petit trou pour se passer de cette capote qui nous privait du plaisir suprême.
De mon côté, je l’ai aussi guidée. Mais c’était plus évident, car la sexualité des hommes est plus simple. À part cette façon de me caresser les tétons, de me peloter comme un homme pelote une femme, de passer de ma bite, à mes couilles, à mon petit trou. Petit trou dans lequel elle glissait un ou deux doigts sous le prétexte que si elle appréciait, il n’y avait pas de raison que les hommes n’aiment pas.
Elle venait chez moi. Jamais chez elle. On ne se voyait que pendant la semaine, car ses parents étaient si stricts que le Week-end et les vacances scolaires elle devait rester avec eux ou aller dans la famille.
D’où cet accord entre nous. C’est elle qui avait dit :
— Je comprendrais que lorsque je ne suis pas là tu puisses aller avec une autre.
J’avais fait l’affranchi et répondu :
— Pareil pour toi.
Une année de plaisir. Mais ses parents ont déménagé. On s’est écrit… un peu… et mes lettres sont restées sans réponses. Alors, la retrouver devant moi, si longtemps après.
*****
Elle s’est changée. Sa robe met en valeur les rondeurs qu’elle n’avait pas à mon époque. Ça lui va bien.
On se fait la bise.
Quelques minutes où l’on ne sait pas très bien quelle attitude prendre et puis on se libère.
En trente minutes, on fait le tour de nos vies depuis notre ...
... séparation.
Elle a été mariée. Elle a eu un enfant. Elle a divorcé, vécu en couple, séparée… Enfin, la vie d’une femme indépendante… et je retrouve bien la Clara que j’ai connue. Elle est propriétaire du café. Elle est célibataire, libre.
Moi, je me suis investi dans ma boîte. Je ne lui parle pas de mes amours tarifés, juste que je n’ai jamais voulu me lier.
Un long silence après… Et en si peu de temps, le bilan cruel de nos vies.
— Tu te souviens ?
C’est moi qui lui pose cette question. Je n’ai pas besoin de préciser, cette année a dû la marquer aussi. Son sourire me le confirme.
— Comme si c’était hier. On était fou !
— Fous et inconscient.
— Quand je pense à ce que nous avons fait. Nos expériences, comment nous avons appris l’un de l’autre….
— Je peux t’avouer que plus d’une fois j’ai reçu des compliments pour ma dextérité avec…
— Ah, tu étais doué. J’ai rencontré très peu d’hommes capables de faire si bien que toi.
— Tu as été une professeure parfaite.
— Moi aussi j’ai beaucoup appris avec toi.
Un silence chargé de souvenirs dure quelques secondes.
— Je peux te poser une question ? Elle me demande.
— Bien sûr.
— Je me suis toujours demandé si tu avais profité de notre accord. Tu sais la liberté lorsque nous étions séparés.
Je souris de cette question.
— Une fois. Une seule fois et cela a été un échec. Et toi ?
— Jamais. Mais je n’ai aucun mérite avec mes parents toujours sur le dos.
Mais elle continue :
— De toute façon, je n’avais pas ...