Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (12) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (12)

... versa une grosse dose de liquide sur mon pénis.

— On commence par quelle position ? Demandai-je.

— Celle que tu préfères !

— Missionnaire, ça te va ?

— Classique mais indémodable ! Ça me va !

Elle s’allongea sur le dos et écarta ses jambes. Elle me regarda de ses yeux bleus électriques alors que je me positionnais. Je plaçai mon gland à l’entrée de ses lèvres et poussa lentement. Sa chatte était nettement plus étroite que les quatre autres que j’avais pu pénétrer.

— T’es vachement étroite !

— Je sais ! Mais je suis plutôt profonde ! Tu peux y aller jusqu’aux couilles sans problème ! Et accélère un peu le mouvement ! Je veux du bestial, je te l’ai dit !

Je m’exécutai et poussai d’un coup mon pénis en elle. Elle avait raison, je pus m’enfoncer jusqu’à la garde avant d’enfin sentir son col de l’utérus. Profonde et étroite, elle moulait parfaitement à ma bite, cette chatte ! Je commençai à aller et venir assez brutalement, comme ma partenaire me l’avait demandé.

Je remerciai alors silencieusement ma sœur jumelle pour m’avoir vidé une première fois ce midi. Sans son intervention, j’aurais éjaculé en quelques secondes seulement dans ce vagin trop serré pour moi.

Lila, en dessous de moi, me dévorait des yeux et semblait se délecter de mes coups de rein. Voir un visage si angélique pendant mon ébat était assez stimulant. Trop stimulant. Cela devait faire deux bonnes minutes que je pilonnais cette chatte quand je sentis le jus monter peu à peu.

Je ...

... stoppai immédiatement mon mouvement et ressortis ma bite. Ouf ! Mon point de non-retour n’avait pas encore été passé.

— Un problème, cow-boy ? Demanda Lila.

— Non, aucun. Je voulais juste changer de position.

— Je t’écoute !

— Une levrette, ça te fait envie ?

— Oh oui ! Dit ma rousse avant de se mettre à quatre pattes, la croupe en l’air.

Au moins, dans cette position, le visage de Lila m’était caché. Je pourrais mieux me contrôler. Je m’avançai devant sa chatte suintante et enfonçai sans cérémonie mon morceau en elle. Cette fois-ci, elle ne put retenir un petit couinement, ce qui me contenta au plus au point. Cela signifiait qu’elle n’était pas indifférente à mes efforts.

— Tu voulais du bestial ? Demandai-je.

— Tu m’as bien comprise. Fais ce que tu as à faire. Engrosse-moi comme la chienne que je suis !

— D’acc !

Je lui saisis les couettes sans ménagement et m’en servis comme point d’ancrage à mon va-et-vient intempestif la forçant à cambrer le dos. Elle semblait apprécier mon traitement car elle haletait à présent. À présent, j’allais et venais dans sa chatte comme si c’eût été un simple trou de plus à baiser.

Je réussis à me retenir cinq bonnes minutes avant de sentir le jus monter. De son côté, Lila soufflait de plus en plus fort et commençait à trembler sous mes assauts répétés.

— Je vais jouir ! Hurla-t-elle comme une bête sauvage.

— Je viens aussi !

— Lâche-moi toute ta sauce, bébé !

Nous jouîmes ensemble dans un concert de ...