Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (12) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (12)

... d’accord pour être la première à tomber enceinte.

— Ok. On fait ça quand ?

— Je pensais que tu rechignerais un peu plus que ça ! Tu n’as qu’à aller la chercher dans le jardin et lui dire de venir.

Je m’exécutai, surexcité à l’idée de baiser une nouvelle chatte. Avec l’accord de ma mère en plus ! Même pas besoin de se cacher ! Je trouvai Lila en train de creuser avec une petite pelle. Elle avait attaché ses cheveux roux en deux couettes qui touchait encore ses épaules tant ils étaient longs. Je lui touchait le dos.

— Lila ? Ma mère te demande.

— J’arrive, dit-elle en lâchant immédiatement son outil.

Elle enleva ses gants de jardinage sur le chemin et les posa sur le bord d’une fenêtre. Lorsque nous arrivâmes devant ma mère, la rousse demanda :

— Tu voulais me voir, Justine ?

— Oui, Lila. Je viens de parler avec Tennessee. Il est prêt quand tu l’es.

— Génial ! On peut commencer tout de suite alors !

— Si vous voulez… Vous n’avez qu’à utiliser la chambre de Tennessee, personne ne vous dérangera.

C’était quand même bizarre d’entendre ma propre mère me demander de baiser une fille que je connaissais depuis un mois à peine.

— Ok. Allons-y alors ! S’écria Lila.

Et elle m’entraîna dans l’escalier sans plus attendre. Quelques instants plus tard, j’étais allongé sur mon lit et me déshabillai lentement. Lili me regardait, amusée.

— C’est pas ta première fois quand même ?

— Non, non, dis-je.

— Et t’as déjà fait l’amour avec une ...

... rousse ?

— Non, jamais. Que des blondes.

— Hihi, t’es mignon.

Elle venait d’enlever son haut et le jeta derrière elle. De mon côté, il ne me restait que mon caleçon. Lili retira rapidement le reste de ses vêtements, révélant des seins petits mais bien modelés et une chatte recouverte d’une légère touffe rousse. Elle se tourna ensuite vers moi en souriant. Voyant que je n’avais pas retiré mon caleçon, elle dit :

— Tu peux retirer ton boxer, tu sais… Je vais voir ta bite de toute manière, pouffa-t-elle.

Elle ne me laissa pas le temps de l’enlever et se jeta sur le tissu, déformé par mon érection. Lorsque ma nudité fût complète, Lila siffla, impressionnée.

— Et bah ! Tu as un méga morceau ! Les deux seuls mecs avec qui j’ai baisé avait des petits vermicelles à la place de la bite. On peut pas dire que j’ai vraiment senti quelque chose !

— Merci. Tu es canon aussi !

— Je me demande comment je vais faire rentrer ça dans ma chatte…

— T’en fait pas, on va y aller doucement et en lubrifiant bien, promis-je.

— D’accord pour la lubrification. Mais je veux que tu sois sauvage avec moi ! Ça fait presque trois mois que j’ai pas baisé !

— Tu es sûre ?

— Certaine, répondit la rousse, un sourire malicieux aux lèvres.

Je sortis de ma table de nuit un petit flacon de lubrifiant que Satyne m’avait passé pour nos ébats.

— T’as tout ce qu’il faut, on dirait ! S’exclama Lila.

Elle ne se fit pas attendre et m’arracha le flacon des mains. Elle dévissa le bouchon et ...