Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (12) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (12)

... dehors.

— Ferme la porte de la cuisine au moins ! Elle est ouverte en grand !

— Arrête de geindre et laisse-moi faire ! Ordonna Satyne.

Je m’assis sur un tabouret et la laissa s’occuper de moi.

— Personne n’a pris soin de ta bite ce matin ? Demanda ma sœur tout en descendant rapidement mon pantalon.

— Non.

— Je vais remédier à cette erreur !

Elle joignit le geste à la parole et goba mon pénis dans sa bouche. Après plus de deux semaines de pratique intensive, Satyne était devenue plutôt bonne en fellation - tout comme Rose, Zoé et Judie -. La grosse taille de mon organe ne la gênait presque plus et elle parvenait à descendre jusqu’aux couilles sans problème - mis à part un bruit de gorge intempestif. Plus encore, elle arrivait à retenir sa salive dans sa bouche et celle-ci ne dégoulinait plus partout sur mes jambes pendant qu’elle me suçait.

Satyne me suça quelques minutes avant que je la prévienne que ma sauce était en route pour son palais. Elle avala avec délectation ma semence qui était arrivée dans son gosier. Elle s’essuya la bouche et repartit sans demander son reste, me laissant seul dans la cuisine. Je remis mon pantalon et me lavai les mains à nouveau.

Lorsque le minuteur de cuisson sonna, je posai sur la table à manger l’immense casserole contenant les lentilles. Je regardais l’horloge : 11h57. Pile à l’heure. Quelques instants plus tard, tout le monde débarqua dans la maison.

Le repas de termina une heure plus tard. Chacun retourna ...

... dehors pour continuer leur travail. Alors que je débarrassais la table, seule ma mère était restée assise. Elle me regarda retirer les assiettes tout en dégustant une mousse au chocolat de la veille.

Lorsque j’eus terminé ma tâche, elle finissait son pot. Elle lécha une dernière fois sa cuillère avant de me dire :

— Tennessee ? Je peux te parler quelques instants ?

— Si tu veux, maman. Je viens de terminer de débarrasser la table, je suis tout à toi.

Elle me fit signe de m’asseoir à côté d’elle et je m’exécutai. Elle s’éclaircit la gorge.

— J’ai pas eu l’occasion de parler de ça avec toi. Mais, il faut que je t’informe à un moment donné.

Je la regardais, bouche bée. Qu’est-ce qu’elle allait m’annoncer ? Qu’elle m’avait vu baiser mes sœurs en cachette ?

— Comme tu as dû le remarquer, tu es le seul homme qui reste.

— J’avais remarqué, oui…

— Ça fait presque un mois qu’on cherche des survivants un peu partout sans rien trouver. Marie a fait quelques calculs (elle avait fait des études en statistique) et estime à 3.1 % nos chances de trouver d’éventuels survivants à présent.

— C’est pas beaucoup, en effet !

— Mais ça n’est pas zéro. C’est pour ça que j’ai demandé à Zoé de m’aider pour tenter un dernier truc.

— Ah bon ? Quoi donc ?

— On a bidouillé il y a plusieurs jours un raccordement au système centrale d’électricité de la ville, lui-même relié au réseau national. Ensuite, on a balancé toute l’électricité qu’on avait dedans.

— C’était ça ...