Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (12) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (12)

Les jours suivants furent un peu plus calmes. Nous avions décidé de stopper nos petits "recrutements" pendant quelques temps afin de pouvoir aider les autres avec les travaux de la maison.

Néanmoins, ça n’empêchait pas Zoé, Rose, Judie et Satyne de venir s’amuser avec moi lorsque je me retrouvais dans un endroit un peu à l’abri des regards. J’avais eu l’occasion de tremper mon biscuit en chacune d’elles et elles ne cessaient d’en redemander. À présent, j’évitais de me décharger dans leur vagin sauf si je portais une capote, ce qui était plutôt rare - ça n’était arrivé que deux fois. Mes quatre conquêtes avaient arrêté la pilule par facilité et il s’agissait de ne pas les engrosser. Seule Rose me demanda de la lui mettre dans le cul, comme elle me l’avait promis, et je pus larguer ma sauce dans son rectum sans risques.

Côté travaux, en seulement deux semaine, nous avions complètement équipé notre immense toiture de panneaux solaires. Nous produisions à présent plus de 60 kWh en pleine journée et les 27 batteries de 11.5 kWh que nous avions récupérées étaient à présent toutes chargées au maximum. En même temps, il était quasiment impossible de consommer plus de 300kWh ! Mais ce surplus d’énergie nous serait utile en cas de misérables conditions météorologiques. Nous avions eu quelques anomalies de fonctionnement au début, une décharge complète des batteries sans aucune explication notamment.

À présent, nous allions commencer à travailler la terre de notre ...

... gigantesque parc. En effet, les produits alimentaires encore en stock dans les magasins à l’abandon n’étaient pas en quantité illimitée. Il fallait commencer à devenir autonomes en nourriture.

JOUR 24

Je me levai aux aurores, comme à mon habitude à présent. Quasiment tout le monde était déjà en train de manger lorsque je descendis les rejoindre.

Vers huit heures, nous étions tous dehors avec des outils récupérés au magasin de bricolage le plus proche. Pendant plus de quatre heures, chacun s’évertua à arracher les mauvaises herbes, à bêcher la terre et à déposer des diverses graines dans des petits trous.

Aujourd’hui, c’était à mon tour de préparer le déjeuner. Ainsi, je me rendis un peu avant midi dans la maison pour cuisiner. Je venais de mettre les lentilles sur le feu quand Satyne vint me rejoindre.

— Alors champion, ça bosse fort ? Dit-elle d’un ton sarcastique.

— Va faire des lentilles pour 16 personnes et on en reparlera.

— J’ai dû cuisiner trois kilos de pâtes avant-hier ! C’était dur aussi ! Répondit-elle.

— Mouais… T’avais pas autant de trucs à éplucher. J’ai dû me coltiner 10 échalotes, 17 patates, 7 carottes et 24 gousses d’ail !

— Oh mon pauvre ! Tu dois avoir les mains en sang ! Ricana-t-elle.

Elle s’approcha et, sans rien dire, s’agenouilla devant moi. Elle posa ses mains sur ma ceinture mais j’eus un mouvement de recul.

— Pas maintenant ! N’importe qui pourrait débarquer dans la cuisine !

— T’en fais pas ! Tout le monde bosse encore ...