Aide à domicile (2)
Datte: 10/06/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
campagne,
amour,
Masturbation
entreseins,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
portrait,
prememois,
initiat,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... s’enfermer avec elle dans sa chambre. Elle avait beau brailler, rien n’y faisait, et la mère faisait semblant de ne rien entendre. Jusqu’au jour où elle s’est retrouvée en cloque, de qui, on ne le saura jamais, sauf que c’est moi qui ai été accusé. Et hop ! Du balai ! Internat au lycée agricole, là où on s’est connus. À dix-huit ans, j’ai touché ce qui restait de l’assurance de mes parents, c’est à dire pas grand-chose, juste de quoi passer le permis et m’acheter cette bagnole. J’étais presque heureux, j’avais un « chez-moi ». Je dormais dedans tous les week-ends ou à la belle étoile. Ça m’a permis d’aller bosser toutes les vacances là où il y avait du boulot.
— Putain, dis donc ! Sacrée expérience ! Tu aurais aussi bien pu virer clodo ou loubard…
— Ouais, pas mon genre. J’ai gardé le souvenir de mes parents, des gens bien. Mon père travaillait aux impôts et ma mère dans une école maternelle, pas instit’, une aide. Ils étaient simples, mais honnêtes. Mais la mère et la fille de ma famille d’accueil m’ont filé une triste idée des femmes…
— Je comprends. Mélanie, c’est différent. Je t’assure qu’elle est bien. Mais quand elle baise, c’est une furie.
Le temps passa. Tornado devint la mascotte du marché. Mélanie l’attelait à une véritable carriole amish, trois places sur le banc avant couvert par une capote et un grand plateau à ridelles derrière. Elle le plaçait dans un enclos réservé aux bestiaux les jours de foire et le plateau servait d’étal. Il fit également merveille ...
... dans les vignes et même dans le potager. Il permettait de labourer sans tasser la terre, sa puissance, son endurance et sa docilité étaient sans égales. Les garçons l’utilisaient même pour débarder les plus gros troncs dans les bois, en plein hiver. Mélanie avait également un très bon contact avec lui et le montait facilement sans avoir jamais appris. Elle parcourait ainsi son domaine, dominant le site autant que du haut d’un tracteur, mais sans bruit et avec l’excitante sensation de cette masse chaude entre ses cuisses. Elle n’en disait évidemment rien, mais Gus lui manquait beaucoup, tout au moins ces deux ou trois séquences sexuelles qu’ils avaient quotidiennement. Elle culpabilisa un temps, pensant avoir fatigué le cœur de ce pauvre homme, jusqu’à entendre dire, dans une émission médicale, que faire l’amour était bon pour le cœur. En fait, peut-être l’avait-elle prolongé de quelques mois…
Et puis ces deux jeunes gens qu’elle côtoyait chaque jour, solides, vigoureux, pas moches du tout, lui donnaient des idées. Pour Julien, ce n’était pas nouveau. Il avait beaucoup des attributs du prince charmant dont elle rêvait adolescente, grand, blond, musclé et fin à la fois, très gentil. Sauf qu’il avait une démarche redoutable, un peu penché en avant, se dandinant sur des jambes écartées. Ludovic ne lui avait pas plu au départ, son regard surtout qui semblait la déshabiller. Et puis, une fois habituée, elle trouvait cela plutôt flatteur d’attirer la convoitise d’un jeune homme. ...