1. Aide à domicile (2)


    Datte: 10/06/2023, Catégories: fh, fhh, jeunes, campagne, amour, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe portrait, prememois, initiat, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... de tout foutre par terre. On a du boulot, petite paye, mais aucuns frais, beaucoup de liberté, on est comme des coqs en pâte, ici. J’ai presque le sentiment de travailler pour moi, depuis que le patron est mort.
    — C’est vrai, j’ai jamais eu une telle chance. Des fois, j’y crois pas. Excuse-moi, je suis toujours un peu influencé par un passé difficile.
    — C’est à dire ?
    — Je te raconte vite fait. Onze ans de bonheur tranquille, et puis mes parents s’explosent contre un platane. Tout bascule. Après quelques mois d’orphelinat, je suis placé en famille d’accueil. Des paysans, mais pas comme ici. Tu vois la vieille ferme pourrie, une salle, avec une chambre et un grand placard à côté transformé en chambrette pour leur fille, toute peinte en rose à gerber. Dans la salle, il y avait une échelle de meunier qui donnait sur une sous-pente où j’avais une paillasse. C’est peut-être pour ça que je suis resté petit, la peur de me cogner. Lui était pochtron au dernier degré, il nous cognait quand il rentrait sans savoir pourquoi, il paraît que nous on le savait. Elle était plutôt sympa, une grande Alsacienne blonde aux yeux bleus, la gamine était blonde aussi. Y avait juste un évier avec un robinet d’eau froide, pas de salle de bains. Alors on faisait la toilette une fois la semaine dans un grand baquet avec l’eau tiédie sur la cuisinière. C’est la mère qui nous décapait l’un après l’autre, il fallait qu’on soit propre, question d’image. Toujours sa fille en premier, Isabelle qu’elle ...
    ... appelait, Zabou. Moi, j’avais droit à son eau de rinçage. Et puis un jour, j’avais peut-être treize ou quatorze ans, quand elle m’a astiqué la mécanique, je me suis senti tout drôle et je me suis mis à bander. Elle a gueulé « Zabou file dans ta chambre » en cachant ma gaule dans sa main. « Mais dis donc, mignon, c’est qu’on devient un vrai petit homme ! » Et sans prévenir, elle s’est mise à me sucer le poireau. Tu penses, une sensation comme ça, ça n’a pas traîné. Je lui ai tout balancé dans le gosier, la tête qui tapait et les jambes flageolantes. Le lendemain, elle a envoyé Zabou faire des courses à l’épicerie, deux bornes aller, deux bornes retour. « Pourquoi il y va pas, lui ? », « Il est puni ! » Ma punition, ce fut de « faire câlin » comme elle disait. Grimper sur la mère et lui enfoncer mon poireau dans la tirelire. Sûr que l’autre ivrogne ne devait pas la faire reluire souvent. Alors elle trouvait toujours un moment pour me coincer sans sa fille et se payer un tour de manège. Mine de rien, elle m’a tout appris. Moi, j’ai trouvé ça agréable au début, mais je me disais que ce serait sûrement mieux avec Zabou. Elle n’était pas terrible, mais mieux que sa mère, plus fine, plus fraîche. On a fini par conclure, parce qu’elle aussi les hormones la travaillaient. J’arrêtais pas, un coup la mère, un coup la fille. Et ça lui a donné de la maturité, à la petite. À vitesse grand V, ses seins et son poil se sont mis à pousser. L’ivrogne s’en est aperçu aussi et il s’est mis à ...
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