1. L'amour doit ressembler à cela


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, hagé, fagée, soubrette, Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe portrait, Auteur: Igitur, Source: Revebebe

    ... satisfaction.
    
    Elle avait de belles lèvres dessinées au crayon, charnues, rouge sang, appétissantes comme jadis les fraises du couvent en été. J’avais une terrible envie de glisser la langue dans cette bouche, mais je savais bien que ce n’était pas la place d’une langue de serviteur, fut-il majordome, et je m’agenouillai humblement afin de pourlécher d’autres nobles lèvres. Son entrejambe avait une belle odeur de foin frais. Ma langue fouailla le con qui s’ouvrit et laissa couler un nectar chaud et suave. La donzelle bien ouverte, je me suis relevé, je l’ai retournée sur la table, pour qu’un serviteur ne soit pas face à elle dans cette situation, et j’ai présenté ma verge devant l’orifice. La pénétration demanda quelques efforts et beaucoup de délicatesse, mais bientôt le gland avait ouvert le passage et je commençai à limer d’importance cette étroite cavité qui s’évasait sous mes assauts. C’est alors que le gros comte se présenta, son large vit tendu en main disant :
    
    — Joli travail, mon garçon, à moi de l’enconner. Et il prit ma place.
    
    La grosse sœur qui depuis un moment lorgnait notre congrès abandonna son auteur et ses gimblettes pour engloutir mon vit encore trempé des humeurs de sa sœur. Elle avait baissé le haut de sa robe et caressait ses mamelles aux tétons tendus comme les maraîchères leurs melons lorsqu’elles attirent le chaland. L’auteur quant à lui s’allongea au sol sous les jupons de ma fellatrice pour déguster un fruit juteux autant que le bruit qu’il ...
    ... fit me permit d’en juger.
    
    De l’autre côté de la pièce, tous les convives étaient entremêlés au milieu d’un mélange multicolore d’étoffes, de sorte qu’on ne savait plus à qui appartenaient les membres qui jaillissaient par moment de la masse informe de corps et de vêtements. Des gémissements montaient, s’amplifiaient, se mêlaient les uns aux autres. Le comte lâcha un peu trop tôt sa semence sur les cuisses de la jeune femme visiblement insatisfaite, des cris de plaisirs jaillirent de la masse humaine et ma fellatrice abandonna ma verge toujours raide pour se laisser aller à son propre orgasme, l’auteur se révélant plus doué avec la langue qu’avec la pique. La jeune femme eut un large sourire cette fois en voyant mon vit bien raide se rapprocher, elle prit les devants, posa un pied sur une chaise pour m’offrir un large passage et s’empala sur moi, face à moi. Cette fois elle plongea sa langue dans ma bouche pendant que je la besognais, jusqu’à ce qu’elle pousse un long gémissement, peu avant que ma semence ne jaillisse au fond de son sexe. Je m’étais laissé emporter par le plaisir, n’aurais-je pas dû me retirer ?
    
    En reprenant mes esprits, je vis Monsieur dépenaillé qui me regardait en souriant. Derrière, à même le sol, Madame tripotait les bourses du gros comte d’une main et celles de l’auteur de l’autre, elle me regardait aussi avec un air vague au fond duquel je crus deviner du désir. Je remettais ma tenue en état quand monsieur reprit son air sévère et me dit :
    
    — Vous ...
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