1. Jouir de la vie


    Datte: 26/05/2023, Catégories: fh, fépilée, vacances, campagne, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ffontaine, massage, caresses, nopéné, Auteur: Fitiavana, Source: Revebebe

    ... vallon.
    — Dommage… tu aurais dû essayer de la rejoindre. Peut-être t’aurait-elle laissé les caresser ? Vous auriez même pu avoir une aventure, qui sait ?
    — Tu as raison. D’ailleurs, il me semble bien l’avoir revue un peu plus tard, au bord d’un ruisseau. Elle semblait prendre beaucoup de plaisir avec son corps.
    — Et tu ne l’as pas accompagnée ? Tu me sembles bien timide. J’espère que tu la reverras, et qu’elle saura faire le premier pas à ta place.
    
    Notre conversation continue sur ce ton léger qui m’enchante, pendant que nous dévorons les produits locaux, simples et délicieux, que nous avons achetés le matin même. Après notre déjeuner, nous nous remettons rapidement en route, pour essayer d’atteindre vers le milieu de l’après-midi notre prochaine étape, l’auberge des chouettes à G… Le chemin est facile et nous arrivons en vue du village vers quatre heures. C’est jour de marché nocturne, et les commerçants installent déjà leurs étals. Nous nous promettons d’y faire une visite dans la soirée, mais Émilie a déjà les yeux qui traînent et semble flairer les bonnes affaires de l’ouverture. La cinquième fois qu’elle s’arrête, je lui annonce avec humour mon intention d’aller prendre un verre sur la place, en attendant qu’elle ait trouvé l’article de ses rêves.
    
    — Mais enfin, réfléchis un peu ! Si tu dois faire le marché avec une femme, autant que ce soit une randonneuse, qui ne pourra pas acheter plus que son sac à dos ne peut contenir ! Enfin, si tu t’ennuies… va plutôt à ...
    ... l’auberge retenir nos chambres et réserver une table.
    
    J’ai un petit pincement au cœur en l’entendant parler de NOS chambres. Encouragé par ses paroles, j’avais caressé l’espoir que… enfin pas que… je veux dire, simplement que je pourrais réchauffer mon cœur de sa présence et de sa gaîté. Mais décidément, Émilie aime souffler le chaud et le froid. J’essaye de cacher ma déception et réponds d’une voix mal assurée :
    
    — Bonne idée, je t’y attends. Et je te rappelle que ce soir, c’est moi qui invite.
    — Ah, dans ce cas, je ne veux pas abuser… je me contenterai d’une petite place dans ta chambre. J’ai compris que tu sais te comporter en gentleman. Je t’ai fait peur, hein ? ajoute-t-elle dans un grand éclat de rire.
    — Euh, non, pourquoi ?
    — Tu es vraiment adorable, mais ta voix te trahit, mon cher Cédric. Allez, file, je te rejoins bientôt. Envoie-moi le numéro de NOTRE chambre.
    
    Quelques minutes plus tard, je pose enfin mon sac à dos en face du grand lit qui doit nous accueillir pour la nuit, et j’envoie un texto à Émilie :
    
    Je file ensuite dans la salle de bains, où je commence par me raser de près –ce soir, on sort !, avant de rentrer dans la grande douche à l’italienne. Je reste un long moment, les yeux fermés sous le jet d’eau qui descend en pluie et caresse mes épaules et mon dos.
    
    — Tu devrais fermer ta porte à clé ! Tu n’as pas peur qu’une admiratrice vienne te violer sous la douche ?
    
    Je sursaute. Émilie est nue derrière moi.
    
    — Tu permets que je me lave avec ...
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