1. Cent pour cent vécu ! (2)


    Datte: 23/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... vingt-sixième chapitre, une partouze gigantesque avec cousins, cousines, papa, maman, tantes et oncles, sous la houlette d’un brave curé de campagne vous charmera de leurs ébats sataniques.
    
    J’ai encore bien du pain sur la planche pour vous relater tout ceci. Alors, comptez fort judicieusement qu’à raison d’une attente de trois semaines pour être validé (si aucun épisode n’est refoulé pour son orthographe douteuse ou sa syntaxe mal gérée), beaucoup de mineurs qui viennent en douce lire sur le site seront majeurs ; et moi, il y a longtemps que je sucrerai les fraises.
    
    En attendant, je vais continuer à vous écrire, de loin en loin sur vos forums adorés, et vous ennuyer avec mes fadaises... mais désormais, il vous faudra les acheter, car j’ai bien l’intention de les faire éditer, mes histoires salaces que je vais pondre. Et si vous voulez y avoir accès... rien de plus simple : ouvrir votre escarcelle et faire péter la joncaille en vous rappelant que je vous écrivais gratos des choses que vous avez méprisées au plus haut point. Pas assez de cul, trop molles, trop mièvres, pas suffisamment bandantes...
    
    Alors les livres érotiques, c’est comme les putes : il faut les payer pour que ce soit meilleur ? Sans doute... et vous vous souviendrez du temps où vous pleurnichiez pour une médaille, de ces moments où vous aviez bien de la gueule pour incendier X ou Y, quand ce n’était pas Anthynéa... qui ce soir vous salue bien !
    
    — oooOOooo —
    
    — Michel... Michel, viens ...
    ... voir...
    
    — Arrête de crier comme ça ! Mes oreilles bon sang ! Qu’est-ce que tu me veux encore ?
    
    — Tu saurais faire des livres numériques de ces pages inédites qui me restent ?
    
    — Tu as donc la ferme intention de vendre ce genre de torchon ?
    
    — On voit bien que tu n’as pas lu « Cinquante nuances de Graisse ». Et puis finalement, puisque mes cahiers dorment dans des cartons, autant que des yeux indiscrets viennent flirter sur mes mots.
    
    — C’est dans le style « Cent pour cent de vécu », ce que tu veux que je te mette en forme ?
    
    — Mais non, mon chéri... Tu devrais t’intéresser un peu plus à ta petite femme et à ce qu’elle fait. Vivement que tu sois en retraite, que nous partions visiter le monde et ses merveilles !
    
    — Mais, mon cœur, le seul paysage qui vaille la peine que je m’y attarde, c’est encore et toujours ton admirable corps ! Tu vois, ma chérie, je peux mourir demain ou tout à l’heure, je sais que j’ai trouvé et aimé la perle la plus rare de ce monde. Et puis ceux qui ne t’ont pas aimée, eh bien je songe avec plaisir que c’est juste pour que moi... je puisse te garder tout à moi.
    
    — Viens ; viens, Michel... ça au moins c’est du vrai, du vivant. Et faire l’amour avec toi, c’est... comment te dire ça... un régal, un plaisir que nous renouvelons chaque jour depuis... rappelle-moi, Monsieur mon mari. Depuis... allez, dis-moi !
    
    — Oh, c’est simple : depuis que je suis en âge de bander, il me semble...
    
    — Voilà : très bonne réponse, mon homme ! Tu as le droit de... ...