1. Cent pour cent vécu ! (2)


    Datte: 23/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... s’agrémente d’une halte, et je ne vous dis rien de ce qui se trame au cours de cet arrêt relativement long. Comme mes fesses sont de toute façon toujours sans fioritures ni tissu... il ne doit pas être difficile d’imaginer une suite logique à notre sortie nocturne. Pas de cabot, pas de nana pour me brouter le minou : tout se déroule dans un monde qui nous appartient à tous les deux. Je n’ai pas dans la caboche de quoi remplir les pages de mon cahier, mais avec un soupçon d’imagination – et quand j’aurai un peu cuvé – tout devrait, demain, oui, demain, se remettre en place.
    
    — oooOOooo —
    
    La seconde rencontre entre Aglaé et Marc se doit d’être un après-midi. D’une part parce que les partenaires des deux amants sont au travail. Facile ainsi pour le sale type de brosser sans crainte sa belle-mère ; et puis pour respecter les masturbateurs invétérés qui vont lire, il faut pimenter un peu les choses. Finalement, les corser devient simple lorsque l’on se réfère à des standards bien rodés. (Une parenthèse : masturbateur veut dire branleur, mais pas forcément jeune. Certains papys aussi se tirlipotent le chewing-gum devant des histoires de cul. C’est moins crade que des films pornos, et ils ont moins de risques de se faire choper par leurs moitiés.)
    
    Mais mon vicelard, celui dont je veux dépeindre les turpitudes, est un pervers qui ne le revendique pas. Il ne l’assume pas non plus, et il décide donc pour cette seconde entrevue de coller un bandeau sur les yeux de la pauvre ...
    ... maman de son épouse. Et comme il ne fait rien à demi, il a invité discrètement quelques vieux beaux plus prompts à sortir leur queue qu’un larfeuille vide. La dame va aimer : quoi de plus naturel que de se faire monter tout un après-midi par un tas de types en compagnie de son gendre ?
    
    Il aurait bien aimé la faire limer par un clebs ; mais là, ce n’est pas l’envie qui lui a fait défaut : c’est surtout l’animal qui est plus complexe à dégoter, mais ce n’est que partie remise. Quand notre héroïne (pas celle qu’on se colle dans les veines, mais bien cette chère belle-maman), après s’être fait grimper par des singes (non pas des bêtes de zoo) dont les démonte-pneus sont increvables, après avoir pris aussi des claques sur le derche pendant des heures (ben oui, les vieux maquereaux sont friands de ces petites folies) pleure de voir partir ce mari de sa fille si tendre avec elle, alors qu’elle reste encore inassouvie, c’est un comble !
    
    Alors oui, Marc reviendra, soyons-en persuadés. Elle en veut, en voudra encore et encore : c’est si facile de dire oui avec un bâillon boule noué sur la nuque ! Le passage avec un lévrier afghan, je vous le relaterai sans doute dans une vie à venir. Et puis, avec un peu de chance, vous aurez droit dans mon cinquante-huitième épisode de « Cent pour cent vécu » à l’arrivée du papa et de sa fille. N’oublions jamais qu’ils vont se venger, je le jurerais ! Quoi de mieux pour ce faire que de baiser tous les deux ? Et qui sait, dans mon six cents ...