Une si jolie robe bleue - Histoires de Sexe

Une si jolie robe bleue

... assurément un mille-feuille fort délicieux à savourer !

Sans arrêter de me pistonner depuis le début de cet étrange échange, mon mari propose placidement au nouveau venu :

— Souhaitez-vous y goûter un peu ?
— Y goûter ? Je peux ?

Je suis un peu dépassée par la situation ; tout ceci ressemble trop à des engrenages bien huilés. Je me demande si je ne suis pas en train de rêver ou quelque chose comme ça. N’ouvrant toujours pas la bouche, je me contente de mieux regarder cet inconnu, de le détailler. Celui-ci ajoute :

— Si Madame le veut bien… bien sûr…

Le bonhomme me plaît bien. Un gros panneau lumineux est en train de clignoter dans mon cerveau : tout ceci n’est pas naturel, ça doit être un coup monté de mon mari. Si c’est le cas, une fois de plus, c’est un bon choix, cet homme est nickel comme je les aime. Je sens que je ne vais pas me faire beaucoup de violence !

Tout en regardant le nouveau venu, je réponds énigmatiquement :

— Hmmm, pourquoi pas…

Ce n’est pas vraiment un non. Ce n’est pas non plus tout à fait un oui. En tout cas, cette réponse convient parfaitement à l’inconnu puisqu’un large sourire se dessine sur son visage, et qu’il ajoute aussitôt :

— Si Madame souhaite un peu de crème…

Puis il abaisse illico son short en lycra, faisant jaillir une belle verge bien nervurée, qui pointe narquoisement assez près de mon nez, puis il s’agenouille devant moi. Bel outil, j’en conviens ! Un peu long, mais pas trop gros, juste comme il faut en ...

... épaisseur.

— Approchez-vous encore un peu, que je vois ça de plus près… Monsieur ?
— Guillaume… pour vous servir…

Guillaume ? Comme c’est amusant ! C’est la version française de William, pseudo-Lord à la si jolie voiture rouge. Faut-il y voir un clin d’œil du destin ? Assez intéressée par la chose qu’il exhibe, je lui suggère :

— Approchez-vous, Guillaume… Oui, plus près…

Sans aucun chichi, j’absorbe le gland légèrement luisant entre mes lèvres. Ce petit salopiaud était déjà en train de fuiter légèrement. Je ne déteste pas le goût qui remplit ma bouche. Ce n’est pas ce que j’ai connu de plus sucré, mais ça va. D’ailleurs, il est rare que le sperme des hommes soit une franche friandise, point de vue goût ! L’intérêt est ailleurs…

Tandis que je m’occupe du bâton de chair, j’entends dire au-dessus de moi :

— Je constate avec plaisir que Madame a déjà de longues heures de vol !
— Merci pour elle ! Ma femme est douée…
— Oui, je vois ça ! Ça ne fait même pas trente secondes qu’elle me suce, et je constate avec plaisir qu’elle est douée, c’est totalement évident ! Vous savez quoi ? Vous devez être un homme heureux… Au fait, puis-je connaître vos prénoms ?
— Sandra et Gilles.

Son mandrin de chair toujours dans ma bouche, Guillaume caresse délicatement mes cheveux :

— Eh bien, je vous félicite, Sandra ! Vous êtes une suceuse de première !

Très occupée, je réponds à ma façon :

— Hmm-chiii !
— Je ne vous le fais pas dire, Sandra. Quant à vous, Gilles, vous ...