1. Une si jolie robe bleue


    Datte: 17/05/2023, Catégories: fh, fhh, inconnu, campagne, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, couple+h, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... avez une femme admirable. Hélas pour moi, je n’ai pas la même à la maison…
    
    Sans cesser de me pistonner, mon mari demande :
    
    — Ah bon ? Votre femme n’est pas aussi disposée ?
    — Non seulement le sexe oral la dégoûte, et même le sexe tout court !
    — Ah oui… c’est dommage…
    
    Guillaume soupire abondamment :
    
    — Pourtant, ça allait très bien tout au début, et puis ça a beaucoup changé à la naissance de notre premier enfant. J’ai cru bêtement que ça durerait un court instant, quelques semaines, pas plus, et que tout reviendrait comme avant. Eh bien non, ça n’est jamais revenu, même après le dernier, rien de rien. Et ce n’est pas faute d’avoir tenté plus d’une fois de rallumer la flamme !
    
    Tandis que je le suce, je le plains silencieusement. Mais en même temps, je peux comprendre sa femme qui a préféré se focaliser sur ses enfants. Gilles a su être patient, et en même temps, il a su entretenir la flamme en permanence, même si j’avoue avoir eu de sacrées baisses de libido.
    
    Résultat de cette flamme entretenue avec patience et détermination, je suis en mode embrochée avec une queue dans la bouche et une autre diamétralement opposée dans ma chatte, le tout en pleine nature !
    
    Je ne déteste pas les trios. Il fut même un moment où j’en faisais très souvent, légèrement aidée par Mickaël qui était devenu mon amant officiel. Cette situation a duré environ quatre mois, le temps que, lui aussi comme Marcelin, il se déniche une vraie compagne avec qui vivre. En y songeant, je ...
    ... dois être abonnée au « déniaisage » et aussi au « recasage » de mes coquins ! Bref, je suis en quelque sorte une assistante sociale !
    
    Je suis sortie de mes pensées par la voix de celui que je suce suavement :
    
    — Je sens que je ne vais plus pouvoir me retenir bien longtemps… Madame, pardon, Sandra me finit à la main, ou bien je peux m’offrir le luxe de jaillir dans sa bouche ?
    — Vous pouvez vous offrir ce luxe, Guillaume.
    
    Visiblement, il s’adresse ensuite à moi :
    
    — Vous… vous êtes certaine que je peux me laisser aller dans votre bouche ?
    — Hmm-hmm !
    — Dans ce cas… un grand merci d’avance !
    
    À peine a-t-il prononcé ces mots que sa queue tressaille entre mes lèvres, signe annonciateur que sa lance à incendie va rentrer dans peu de temps en action ! Ce qui arrive très peu de secondes ensuite sous la forme d’un premier jet bien copieux et d’un râle bien sonore ! J’espère qu’il ne va pas rameuter tous les bonshommes du coin en bramant de la sorte !
    
    Puis c’est une succession de jets, ainsi qu’un niveau moins sonore. J’arrive à suivre tant bien que mal la cadence, mais je me demande depuis quand ce type n’a pas vidé ses couilles ! Son histoire d’épouse dégoûtée du sexe doit être vraie !
    
    Peu après (je vous épargne les détails), c’est à mon tour de profiter. Je suis allongée dans l’herbe, couchée sur ma robe en guise de serviette, tandis que Guillaume s’active entre mes jambes et que Gilles m’embrasse tout en pelotant copieusement mes seins. Mon mari sait très bien ...
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