1. Jeu de rôle, disiez-vous ?


    Datte: 14/05/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, amour, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, lettre, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... dans l’orgasme est plus ou moins abondant selon les personnes. Dans le cas de Déborah, c’est impressionnant !
    — Ah !
    — Eh oui ! Vous comprenez bien qu’une femme de chambre ne peut se présenter ensuite tout de go au service d’une cliente.
    
    Marie-Blanche C** reste un moment indécise. Le bon ange de madame C** tire les leçons d’un échec complet en se retirant des affaires. La place revient aux démons de Marie-Blanche qui la libèrent de ses tabous. Elle te soumet, à demi rougissante, une seconde proposition.
    
    — N’y aurait-il pas lieu, alors, d’aggraver l’humiliation afin d’aider la coupable à mieux se rendre compte de la gravité de son acte ?
    — Hum, si c’est possible, ce serait en effet souhaitable. Que suggéreriez-vous, chère amie ?
    — Eh bien, être contrainte de reproduire ouvertement son geste inconvenant, devant nous par exemple, serait une cuisante pénitence dont, on peut l’espérer, elle se souviendrait.
    — Oh, mais quelle excellente suggestion de châtiment ! t’enthousiasmes-tu (hypocritement, je le sais), Déborah prouverait ainsi la sincérité de sa contrition. Vos idées sont magistrales, chère Marie-Blanche !
    — Ce n’est qu’une simple suggestion… minaude la complimentée en toute fausse modestie.
    — Pas du tout ! J’aurais dû y penser moi-même (tu parles !), je suis heureuse de votre aide précieuse, je vous l’affirme.
    
    Elles poursuivent leurs échanges courtois en discutant de modalités pratiques auxquelles je ne prête pas attention. Le supposé jeu de rôle ...
    ... distrayant me paraît bien oublié. L’atmosphère badine du début de soirée s’est pervertie dans un autre jeu, un tantinet sadique. Je n’ose appesantir mon regard sur Déborah, il me semble que ses jambes tremblent. Elle a perdu tout espoir de te fléchir, si jamais elle en a eu. Elle attend un ordre qui ne tarde guère.
    
    — Déborah.
    — Oui, madame Aline ?
    
    Sa voix est curieusement haut perchée, mêlant crainte de l’inéluctable et soulagement d’une tension trop longtemps contenue. La tienne ne trahit ni colère ni bienveillance.
    
    — Avez-vous compris à quelles conditions votre toilette intime sera autorisée ?
    — Oui… madame… Aline.
    — Les acceptez-vous de bon gré comme gage de votre sincère contrition ?
    — Oui… madame Aline.
    — Dites-le clairement et remerciez madame C*** qui a intercédé en votre faveur.
    — Merci de votre sollicitude, Madame. J’accepte de bon cœur mes pénitences, car je désire sincèrement me repentir de mes fautes.
    
    Je me retiens de dire amen en voyant Marie-Blanche sérieuse comme une papesse. Se croit-elle vraiment dans le rôle de « conseillère pédagogique » que tu lui fais jouer ? Déborah a retrouvé peu à peu la maîtrise de sa voix où je ne discerne aucune duplicité. Toi-même, tu gardes un visage impassible – hormis la malice qui pétille toujours dans tes yeux – pour donner tes instructions.
    
    — Madame C** vous fait l’honneur de vous laisser son fauteuil pour votre première pénitence, Déborah. Vous ferez la seconde sur la chauffeuse.
    — Bien, madame Aline.
    — ...
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