Jeu de rôle, disiez-vous ?
Datte: 14/05/2023,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
profélève,
amour,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
nopéné,
lettre,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... chacune à diverses reprises, ce qui est encore plus grave pour une employée expérimentée censée donner l’exemple aux plus jeunes.
La pauvre se le tient pour dit et baisse la tête en signe de contrition. Si ma sympathie pour elle n’a pas diminué, j’en ai presque autant pour Sandrine qui a suivi ce dialogue en ouvrant de grands yeux et qui semble de plus en plus mal à l’aise.
— Mais j’y pense, reprend sa patronne, si vous estimez primordiale la valeur éducative de l’humiliation, chère Aline, peut-être, vu les faits, la participation de ma petite cousine et de son amie au nouvel examen de Déborah serait-elle pertinente ?
Ton approbation et tes félicitations pour une suggestion parfaitement adéquate aux objectifs visés comblent Marie-Ange. Elle recherche si clairement ton estime que j’ai l’impression qu’elle te drague – si ce verbe est dans son vocabulaire – et je balance entre m’en réjouir ou en prendre ombrage. Mais mon hésitation ne dure guère : notre relation est fondée sur la liberté, je t’aiderai à la séduire quoiqu’il advienne. Rassérénée, je l’écoute en souriant recommander à Sandrine d’aller quérir Viviane et Clémence de sa part sans leur en donner la raison.
Puis, après le départ de sa jeune soubrette, elle te livre une autre de ses préoccupations.
— Entre nous, Aline, quelle est la faute la plus grave de Déborah ?
— Sans aucun doute celle d’oser se présenter sans être parfaitement nette, et de loin ! Vous auriez vu l’état de sa culotte, chère amie, ...
... c’était une véritable serpillière.
— Elle l’a donc salie en urinant, malgré ses affirmations ?
— Que nenni, ma chère ! Je sais distinguer les parfums. Non, trop pressée de se faire jouir, cette cochonne n’a même pas eu l’idée d’enlever sa culotte. Elle était littéralement trempée !
— À ce point ? Comment est-ce possible ?
— Une fontaine, ma chère ! Elle vous a avoué qu’elle mouillait beaucoup dans l’orgasme, c’est un euphémisme !
Il y a donc au moins deux femmes-fontaines dans ton personnel[voir épisode 3]. Est-ce l’un de tes critères de recrutement ? L’éjaculatrice présente ne pipe mot. Son dos est agité de légers tressautements, ses mains s’étreignent nerveusement, tout son corps est raidi. Je devine qu’elle met toute sa volonté à se retenir de pleurer. Je sais quelle honte on éprouve à entendre discourir crûment de ses caractéristiques sexuelles. L’empathie me saisit et me pousse à atténuer son désarroi. Ta voix dure stoppe mon élan.
— Non, Chantal, s’il te plaît. Laisse Déborah prendre la mesure de ses erreurs. C’est le début du repentir.
Tu n’as pas dit « de ses péchés », mais c’est tout comme. Aline en directrice de conscience ! Le concept me fait sourire tandis que tu reviens à Marie-Blanche.
— Que disiez-vous, chère amie ? Je vous ai coupée, pardonnez-moi.
— Je n’ai jamais eu cette expérience. Dans ce cas-là, il y a donc production d’une grande quantité de… euh, de… mouille ?
— C’est variable, cela dépend de bien des choses, souris-tu. Le jet expulsé ...