1. Jeu de rôle, disiez-vous ?


    Datte: 14/05/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, amour, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, lettre, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... autrement.
    
    Ton clin d’œil malicieux confirme ma supposition. Bonne copine, je t’apporte mon aide en prolongeant l’exhibition de ton cul avant de m’asseoir. Il me faut bien, n’est-ce pas, prendre le temps de délicatement replier le tissu sur le siège pour ne pas le froisser… Lorsque je suis enfin installée, tes jambes toujours nues reprennent leur position allongée. Tes pieds viennent tout naturellement reposer sur moi, un talon trouvant son gîte contre mon pubis, l’autre sur un genou qu’il oblige sournoisement à s’écarter.
    
    Tous ces gestes n’ont bien sûr pour but que de favoriser un confortable délassement entre amies. Ainsi l’assurons-nous par un sourire innocent à l’intention de notre hôtesse que les délices du voyeurisme détournent de sa réflexion morose. Soucieuse sans doute de poursuivre cette salutaire thérapie, tu sollicites candidement une nouvelle boisson qu’elle se fait un plaisir de t’apporter. C’est l’instant que choisit mon genou pour céder à la pression de ton talon. Ta jambe glisse de ma cuisse ouverte, exposant sans entrave les formes de ta chatte.
    
    Tu ne juges pas nécessaire de te refermer pour remercier Marie-Blanche qui, du reste, n’a d’yeux que pour tes lèvres du bas. Tu ne crois pas utile non plus de cesser de mouvoir subrepticement le pied qui repose sur mon pubis. Cette friction caressante m’incite à mieux lui offrir le haut de ma fente. Marie-Blanche ne peut manquer de remarquer le mouvement de mon bassin et de mes cuisses. Son regard ...
    ... alterne d’une chatte à l’autre tandis qu’elle t’écoute distraitement attirer notre attention sur les commentaires de Viviane et Clémence à l’encontre de Déborah.
    
    Le vocabulaire de ces demoiselles ne s’inscrit pourtant pas dans le registre de la bonne éducation auquel on s’attendrait. Leur description de l’intimité de leur victime s’émaille d’un chapelet de mots crus où « cramouille » et « chagasse » passent pour les plus élégants. Les successions d’expressions vulgaires finissent par détourner Marie-Blanche de sa contemplation lubrique et lui font froncer le sourcil, moins de réprobation que d’étonnement. Les jeunes filles modèles se révèlent sous un jour qu’elle ne soupçonnait guère, pas plus que leurs compétences dans l’anatomie féminine de l’appareil uro-génital.
    
    — Allons, allons, chère amie, la réconfortes-tu avec bonhomie, le langage de votre jeune parentèle manque de civilité, mais nous n’en sommes plus au stade des pudeurs entre nous, n’est-ce pas ?
    
    Chose surprenante, notre hôtesse te rend ton sourire sans rougir, ni même dissimuler le regard lascif qu’elle porte sur ma main égarée sur ta cuisse, tout près de la fleur onctueuse que tu dévoiles si obligeamment. Les démons de Gomorrhe se sont durablement installés dans une âme ci-devant bienséante…
    
    — Eh bien, maintenant que votre inspection si consciencieuse est terminée, mesdemoiselles, reprends-tu à l’intention de Viviane et Clémence, il est temps pour Déborah d’accomplir sa seconde pénitence.
    
    Brusquement ...