1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1530)


    Datte: 11/05/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... grandissais, parce que mon besoin de discipline et de contraintes était devenu impérieux en l’espace de quelques jours seulement. Ma vie d’avant n’avait plus aucun sens, celle qui s’ouvrait à moi allait me conduire au total épanouissement de mon être intérieur, j’en étais convaincu. Lorsque nous fûmes arrivés au Château, le Maître me dit :
    
    - Tu sais ce que tu dois faire pour entrer en Ma Demeure !
    
    Je savais. Alors que le Maître regagnait le perron, je me dévêtis dans ma voiture puis prenait la direction de cet enclos pour m’y enfermer. Dans ce couloir vouté, ordinairement très calme et silencieux, là, j’entendais des cris, des exclamations, des exigences, des gémissements, des grognements, des réprobations, des récriminations, en fait, un tohu-bohu sans non, m’empêchant presque d’avancer. Lorsque j’arrivais dans cette pièce contenant les cellules, je fus impressionné par ce que je voyais. Là dans la cellule à côté de la mienne, un homme totalement nu, cagoule posée sur son visage, avec un collier autour du cou était suspendu par les bras, juste posé sur la pointe de ses pieds, les jambes tenues écartées par une barre métallique, allant d’une de ses chevilles à l’autre, avec un seau attaché à ses testicules et pendant entre ses jambes. A côté de lui, une femme corpulente, la cinquante tapait cet homme avec une cravache cinglante, elle paraissait visiblement, au premier coup d’œil, rustre, sévère, sadique et perverse.
    
    - Qu'en vas-tu comprendre, la salope que tu ne ...
    ... dois plus te toucher les couilles et la nouille de chien ?, lui disait-elle sévèrement et sèchement
    
    - Pardon, pardon Madame Marie, je ne le referai plus, lui répondait l’homme en gémissant puis hurlant à la suite d’un nouveau coup violent de cravache porté sur ses fesses meurtries et zébrées.
    
    - Comment te croire, sale pute, alors qu’il y a deux jours seulement, tu m’avais exactement dit la même chose, espèce de bâtard...
    
    A cela, cette femme aux yeux emplis de sadisme rajoutait un demi-litre d’eau dans le seau accroché aux attributs masculin du soumis
    
    - Point de pitié pour les lopes désobéissantes, crois-moi tu vas regretter de porter une paire de couilles, tu vas comprendre qu’il t’est interdit de te branler sans autorisation, espèce de chien de rue, tu n’es qu’un…
    
    Cette femme autoritaire et vicieuse s’arrêta net en me voyant.
    
    - Tiens, tiens, le petit nouveau ! Est-ce bien toi, le fameux alexsoumis ?
    
    - Oui Madame !, répondais-je en me passant le collier autour du cou
    
    - Ici on m’appelle Madame Marie … Si tu oublies ça, tu auras à faire à ma cravache, le chien
    
    - Bien, je ne l’oublierai pas, Madame Marie, répondis-je avec crainte, car cette femme me faisait peur
    
    - Dépêche-toi de te mettre à quatre pattes, et montre-moi ton cul de putain, petit chien soumis.
    
    Evidemment, elle riait en voyant le petit bout de ficelle sortir de mon anus.
    
    - Encore un qui ne sait pas tenir le jus, la bonne semence qu’on lui donne…, lançait-elle en haussant les épaules ...
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