1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1530)


    Datte: 11/05/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... de dépit et en levant le bras, sa cravache en main, prête à me frapper.
    
    Heureusement Walter arrivait juste à cet instant, alors que la sadique Marie allait me cravacher simplement parce que j’avais un tampon dans le cul
    
    - Laisse Marie, tu le cravacheras à ta guise une autre fois, Monsieur le Marquis veut voir ce chien tout de suite dans Son bureau
    
    - Ah OK, dit-elle, baissant le bras… Toi le bâtard, tu ne perds rien pour attendre, j’t’apprendrais à garder le sperme et sans tampon dans ton cul … Tu peux me croire, la pute à foutre…
    
    Le Majordome déverrouillait ma cellule me fixait une laisse à mon collier, en m’entrainait en quadrupédie jusqu’au bureau de Monsieur le Marquis. Le Noble assis dans Son fauteuil semblait m’attendre. En Ses nobles Mains, il tenait un document jauni par le temps. On aurait cru qu’il tenait un trésor, tant il tenait ce document avec mille précautions.
    
    - Approche-toi Mon chien, viens ici près de moi, à genoux, ton cul posé sur tes talons, tes mains sur tes cuisses écartées, paumes levées vers le ciel, regarde-moi !
    
    Bien difficile de tenir un regard d’une telle intensité, il fallait une parfaite obéissance pour y parvenir. Je me conformais à l’ordre reçu avec un plaisir évident, parce que je me sentais devenir de plus en plus servile, docile et obéissant. Un plaisir physique puisque ma nouille cherchait à se redresser, mais bien plus encore, une jouissance intellectuelle sans nom, quelque chose d’inexplicable, à la fois déconcertante et ...
    ... incompréhensible mais tellement emplie de plénitude. Je me voyais, offert, silencieux, respectueux, humble, asservi, dans le dénuement total avec un ressenti et un besoin de vénération de dévotion incommensurable.
    
    - Regarde Mon chien, j’ai entre Mes mains, une lettre écrite il y a maintenant près de vingt-cinq ans, peu après ta naissance. Elle a un peu jauni parce qu’elle a demeuré dans un de Mes coffres toutes ces années et y serait restée si tu n’étais pas venu à ma rencontre grâce à ta destinée qui t’a amené jusqu’au Château.
    
    Pour la première fois, je ressentais de l’émotion dans la voix du Maitre, il regardait ce pli avec tellement de retenue, d’affection et d’émotions, on sentait même, étrangement une légère commotion chez Lui. J’ai même aperçu une larme coulée sur sa joue, ce qui devait être exceptionnel devant un soumis… Il se ressaisissait et reprenait la parole avec courage et dans une sorte d’humilité sincère. Et ‘est donc très ému qu’il me dit :
    
    - Tu vois cette lettre est cachetée de mon sceau. Et donc elle n’aurait jamais été ouverte si tu ne m’avais pas rejoint, si tu n’étais pas là, aujourd’hui, humble à Mes pieds ! Cette lettre, elle te revient de droit, parce que j’en ai fait le serment en son temps. J’en ai fait la promesse de te la remettre en main propre, le jour venu. Et ce jour est aujourd’hui.
    
    Je ne voyais absolument pas où Monsieur le Marquis voulait en venir. Pourquoi cette lettre me reviendrait-elle ? Et pourquoi le Maître semblait si ému ...
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