La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1530)
Datte: 11/05/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... le Maître était silencieux, moi je me disais en esquissant discrètement un sourire en m’inventant ce petit poème imaginé dans ma tête :
« Mon petit Alex, cage de chasteté posée,
Et Tampax arrimé dans ton cul bien dosé,
Juste une carcasse, de volaille, à bouffer,
Comme repas de chien, et te voilà paré ! »
Je ne savais pas pourquoi à cet instant précis, j’avais l’âme joyeuse ! Avais-je besoin de décompresser ?
- Pourquoi souris-tu salope ?, me questionnait le Maître.
Mine de rien le Maître m’épiait chacun de mes faits et gestes, mes attitudes étaient sous contrôle. Je lui répondais simplement que j’étais bien, heureux d’avoir ce privilège d’être près de Lui, d’être Son chien soumis, j’osais même lui redire ce qui m’était venu à l’esprit, ces rimes stupides qui m’avaient fait sourire, tout en craignant une vive réaction de Sa part. Il n’en fut rien, au contraire, le Maître eut un sourire, il m’expliquait qu’il appréciait de voir Ses soumises et soumis heureux, peut-être un peu malicieux, ayant de l’esprit, du caractère, de l’intelligence dès lors qu’il n’y avait pas de mépris, d’arrogance ou d’insolence, dès lors qu’ils savaient ce qu’ils étaient et espéraient être !
- J’aime te voir t’épanouir à Mes pieds car je préfère ça que les ignorants, les ânes bâtés… trop peu pour moi !, avait-il conclu.
Le silence était revenu dans l’habitacle de la voiture, nous venions de quitter l’autoroute à Villefranche-sur-Saône, pour prendre les routes départementales ...
... nous conduisant au Château. Là alors que j’étais arrêté à un feu rouge, le Maître reprenait la parole :
- J’apprécie ton intelligence alexsoumis, tu es bien le digne fils de tes parents !
Pourquoi le Maitre me parlait subitement de mes parents ? Je faisais comme si de rien n’était, bien que troublé par cette remarque, tellement troublé que le feu était passé au vert depuis longtemps, je n’avais pas redémarré.
- Allons salope, qu’attends-tu pour avancer ?
Trop tard, le feu passait à l’orange.
- Désolé Maître, sincèrement désolé.
- C’est moi qui suis désolé de te remuer les tripes en te parlant de tes parents, mais je veux que tu saches que j’ai été profondément triste d’apprendre leur décès, profondément touché par leur disparition, un deuil qui m’a beaucoup affecté et qui m’affecte encore, je les appréciais énormément. Mais il est nécessaire et de Mon Devoir de te parler d’eux.
- Je ne veux rien savoir Maî….
- Tais-toi salope, tu n’as pas à vouloir, tu n’as rien à exiger, tu dois te contenter d’obéir dignement, respectueusement, comme tes parents le faisaient auprès de Moi.
Cette juste mise au point me remettait sur le rail, effectivement Monsieur le Marquis avait raison, je ne devais plus décider, plus arbitrer, plus choisir, ne pas vouloir mais espérer, souhaiter, seulement me résoudre à la totale obéissance, à accepter la subordination, la dépendance et me tenir dans la plus parfaite docilité et servilité. Je savais qu’ainsi, je me nourrissais, je ...