Le jour où...
Datte: 08/09/2018,
Catégories:
fh,
couple,
fdomine,
69,
fgode,
légumes,
hgode,
attache,
confession,
fsodoh,
Auteur: Histochris, Source: Revebebe
... revint.
Un nouveau soupir mêlé à une plainte.
— Tais-toi, dit-elle en posant son index sur ma bouche. Les voisins vont entendre.
Elle me fit sucer son doigt. Et je m’appliquai à le faire avec sensualité.
— Voilà, c’est bien.
Un nouveau cri dû à une nouvelle poussée.
Elle me libéra de cette présence entre mes fesses. Je sentis mon œillet béant se refermer.
Elle se plaça prés de mon visage et me montra sa chatte ruisselante.
— J’en peux plus, souffla-t-elle en y glissant deux doigts qui fouillèrent fébrilement son intérieur.
Son égarement ne dura pas. Elle reprit conscience et se saisissant du légume le cassa en deux.
— Ouvre la bouche !
J’obéis et elle me plaça la moitié du légume à l’envers dedans, pointe en haut. Elle garda la moitié recouverte du préservatif en main et m’enfourcha à l’envers, me présentant sa croupe.
Elle posa sa chatte sur la pointe verte et s’assit dessus.
Je mordais le légume pour qu’il puisse la pénétrer. Je voyais tout parfaitement. Ses lèvres qui s’écartaient en restant collées au végétal.
Elle reprit ma sodomie. Plus aisée cette fois. Elle me baisait tout en s’empalant sur la moitié de légume que j’avais en bouche. Les reins creusés, les seins sortis du bustier, elle se baisait tout ...
... en m’enculant et en me faisant gémir.
— Je te baise, je t’encule et j’aime ça, murmurait-elle en oscillant.
Mon nez venait entre ses fesses quand elle s’asseyait totalement, son jus coulait autour du concombre puis dans ma bouche.
Ses soubresauts étaient de plus en plus anarchiques, elle ne se contrôlait plus, les pénétrations du gode végétal étaient profondes et violentes. Soudain, elle se figea, empalée au maximum, et maintenant le légume au fond de mes reins. Elle jouit fort, en grognant.
Elle récupéra lentement, puis je sentis sa bouche se refermer autour de mon gland, ses doigts jouèrent avec mon œillet libéré de cette énorme présence. Elle me suça goulûment, habilement, doucement, comme pour apaiser mon corps meurtri. Je soufflais fort, le nez encore entre ses fesses, car elle restait assise pour profiter encore de la sensation.
Enfin j’éjaculai, le corps arqué dans un plaisir profond. Elle libéra mon gland, me masturba doucement, en léchant ma hampe pendant que ma semence jaillissait et glissait sur mon pieu.
Le plaisir nous avait dévastés l’un et l’autre et nous restâmes un long moment, couchés tête-bêche, chacun reprenant conscience. J’avais un peu mal encore.
— Quel pied, lui dis-je en embrassant sa fesse, mais quel pied !