1. Le jour où...


    Datte: 08/09/2018, Catégories: fh, couple, fdomine, 69, fgode, légumes, hgode, attache, confession, fsodoh, Auteur: Histochris, Source: Revebebe

    Un soir, nous fûmes tous deux pris d’un désir fou. Après des attouchements dans le couloir, presque sauvages et brutaux, emportés par une même envie de sexe, nous nous retrouvâmes couchés sur le lit, collés l’un à l’autre. Nos corps étaient soudés par la passion, nos bouches se trouvaient avec rage, nos mains arrachaient littéralement les vêtements. Oh, que c’était bon de la sentir si passionnée, si enragée. Elle prenait l’initiative, cherchait ma queue. Je tirai sans ménagement sur son tee-shirt pour dévoiler son sein que je me mis à téter avidement.
    
    Il était dur, bon au goût et sensible, car j’entendais ses soupirs, percevais les ondulations de son corps.
    
    — Ce soir, je te baise, me souffla-t-elle à l’oreille.
    — Oui, fais ce que tu veux, je suis à toi, dis-je avant de replonger sur le téton.
    
    Ma main partit sous son pantalon de sport moulant. Tout ça, c’était à cause de lui, car il la moulait tellement que j’avais pu admirer ses belles courbes et même ses lèvres intimes moulées par la fine maille. Quelle chaleur entre ses cuisses !
    
    Ses lèvres étaient déjà assouplies par le désir. Les poils de son sexe déjà humides !
    
    J’aime ça, une chatte prête à l’amour. Je glissai mon majeur entre les lèvres qui le happèrent littéralement. Il s’enfonça sans peine.
    
    Elle me tira les cheveux sans ménagement. Je ne lui avais jamais connu une telle ardeur. Ce soir elle était une amazone féroce.
    
    Elle râla sous la pénétration de mon doigt, qui massa vers le haut de son ...
    ... antre.
    
    D’autorité, elle retira ma main d’entre ses cuisses et l’attira vers mon visage.
    
    — Suce, suce mon jus.
    
    Je goûtai le fruit de son excitation. Breuvage toujours aussi envoûtant.
    
    J’avais le pantalon sur les cuisses et ma queue pleurait déjà sur mon ventre.
    
    — Déshabille-toi, vite, j’ai envie ! me dit-elle à l’oreille.
    
    Je me relevai et me débarrassai de mes vêtements comme s’ils avaient été en feu. Mais le feu dura. J’étais en feu !
    
    La lave coulait de mon gland et un long fil brillant pendait au bout.
    
    Elle s’assit et plaça son doigt dessous. Elle le fit s’élever en direction de mon gland et son doigt recueillit mon excitation. Elle passa sur le méat et prit toute la grosse goutte. Ensuite, elle le passa sous mon sexe juste sur le frein. Elle frotta, me faisant gémir de plaisir.
    
    — Tu vas gémir, fais-moi confiance. Allonge-toi. J’arrive.
    
    Je me mis sur le lit, sur le dos. Je la vis sortir en balançant ses fesses outrageusement. Quel cul, parfaitement moulé par cette seconde peau.
    
    En bon mâle dominant, je me vis déjà chevauchant cette amazone.
    
    Un regard sur ma bite me confirma qu’elle me serait fidèle et ne me laisserait pas tomber. Elle était toute fière !
    
    « Brave bête », pensais-je, en estimant ses capacités en la serrant un peu,« tu vas encore faire une heureuse ce soir ! Bisou, je t’aime, sans toi je ne suis rien ! » (Ma bite et moi sommes très liés et très proches).
    
    J’étais donc en train de me livrer à une répétition mentale des gestes à ...
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