Le jour où...
Datte: 08/09/2018,
Catégories:
fh,
couple,
fdomine,
69,
fgode,
légumes,
hgode,
attache,
confession,
fsodoh,
Auteur: Histochris, Source: Revebebe
... accomplir, un peu comme un skieur mimant sa descente avant de s’élancer (là je donne à gauche, là j’accélère, je freine, je tourne, je remonte).
Elle passa dans la salle de bains. Je l’entendis ressortir au bout de quelques minutes.
— J’arrive mon chéri, tiens-toi prêt !
Ma dulcinée était à la cuisine. J’entendis la porte du réfrigérateur.
— Elle prend des forces, ça va être Austerlitz !
Elle revint au bout de quelques longues minutes.
— Oh punaise, dis-je en la voyant entrer.
Elle s’était changée. Elle était… belle. Des bas, un porte-jarretelles, un bustier. Le tout en noir.
Elle tenait ses mains dans son dos, comme une gentille écolière timide se rendant au tableau.
Un canon.
— Tu es belle, j’ai envie de toi, vite !
Elle eut un regard étrange, un sourire… étrange aussi.
Elle repassa ses bras devant. Un concombre ! Elle tenait un concombre à la main.
— Tu vois mon chéri, je suis tellement gourmande ce soir !
Un genou entre mes cuisses, elle se pencha pour ouvrir le tiroir de la table de nuit. Dans le miroir de l’armoire, je contemplais sa croupe !
Quel bonheur ! Deux belles fesses charnues comme je les aime ! Entre, une zone sombre ! Je pus, alors qu’elle se penchait encore plus, apercevoir son sexe, sa fente entrouverte.
Elle se redressa et me tendit un préservatif. Je l’ouvris fébrilement. Un concombre, son désir devait être si fort !
Mais cette idée me plut… Beaucoup.
Je déposai l’anneau de latex sur le bout du ...
... légume, qui ne mouftait pas, sans doute inquiet du sort qui l’attendait. Il n’avait jamais visité que la cuisine, et dans sa famille on finissait systématiquement dans un saladier.
Il restait raide comme la justice ! Ma femme déroula habilement le préservatif autour du légume. Elle dut forcer un peu à l’endroit le plus large.
Elle tenait maintenant une bite géante en main.
— J’ai envie, j’ai tellement envie, ronronna-t-elle en le passant sur sa poitrine.
Je la tenais aux hanches, mon gland effleurant son entrejambe. Elle donna quelques coups de reins pour se frotter. Délicieuse caresse grasse. Elle se redressa à genoux autour de moi et, me lançant un regard de braise, passa le légume entre ses cuisses. Elle se mordit les lèvres.
— Hummm, il est si gros, j’en ai tellement envie.
D’une impulsion, je la basculai sur le lit. Trop c’est trop. J’avais moi aussi envie de voir ce gode végétal pénétrer son sexe. Elle le dirigea vers cette entrée. Quelle indécence sublime ! Son désir de sexe était si palpable ! La pointe effleura ses lèvres, puis ses deux mains se liguèrent pour le faire pénétrer un peu plus loin. Je regardais ça avec un plaisir pervers. J’aimais voir sa chatte dilatée par la pénétration de ce gode. Dans ses yeux je lisais le plaisir qu’elle ressentait, tant physiquement que psychologiquement, à se montrer ainsi.
Elle poussa presque brutalement le légume dans son ventre en râlant.
— Putain, c’est bon !
— Oui c’est bon, ma salope chérie, baise-toi ...