1. Le jour où...


    Datte: 08/09/2018, Catégories: fh, couple, fdomine, 69, fgode, légumes, hgode, attache, confession, fsodoh, Auteur: Histochris, Source: Revebebe

    ... bien, j’adore ça.
    
    La tension était à son comble, et je pense que nous n’avions plus rien d’humain, nous n’étions plus que deux bêtes de jouissance. Je me régalais du spectacle, et elle de son exhibition.
    
    Elle se redressa soudain et me repoussa brutalement sur le lit.
    
    Elle me prit les bras et les releva en me tenant fermement les poignets. Elle me lança un regard étrange. Elle attrapa son peignoir posé au pied du lit et récupéra la ceinture, qu’elle enroula autour de mes poignets avant de l’attacher au pied du lit.
    
    Elle agissait nerveusement, presque durement, et j’aimais cette détermination à gagner le plaisir.
    
    Une fois attaché, elle posa encore la pointe du légume contre l’entrée de son sexe et s’empala en grognant. Je jouissais de cette impuissance qui me condamnait à regarder.
    
    Son corps n’était que désir.
    
    Elle cessa et enroula ses doigts autour de ma queue, qui continuait à se liquéfier.
    
    — Doucement, doucement, dis-je, c’est trop bon.
    — Ferme les yeux, laisse-moi faire, souffla-t-elle avant de m’embrasser avec gourmandise.
    
    Soudain, je sentis entre mes fesses la pointe du légume. Surpris, je ne pus réprimer un sursaut.
    
    Elle poussa sa langue au fond de ma bouche.
    
    Elle forçait, et une petite douleur me contractait.
    
    — Laisse-moi faire ! dit-elle en me pinçant fortement un téton. Je vais te baiser et tu vas aimer ça ! Détends-toi, ouvre-toi. J’ai envie de ça, j’ai envie de te baiser, de t’enculer.
    
    Ces mots crus dans sa bouche ...
    ... habituellement sage me firent l’effet d’un électrochoc.
    
    — Je sais que tu en as envie aussi, ma salope, poursuivit-elle.
    
    Elle poussa encore, m’arrachant un gémissement.
    
    — Oui, grogna-t-elle, tu es à moi, je te baise.
    
    Elle regardait mon cul, les yeux brillants, en se mordant les lèvres.
    
    Moi, bras relevés, je m’ouvrais, j’écartais mes cuisses en la regardant se passionner pour cette nouveauté.
    
    Elle ne me laissait aucun répit, poursuivant le viol de mon orifice, qui bien qu’expérimenté n’avait jamais connu telle pénétration.
    
    De temps en temps, elle glissait une main entre ses cuisses.
    
    — Je suis trempée, je mouille.
    
    Ses spasmes de plaisir se traduisaient par une nouvelle poussée, qui à chaque fois m’arrachait un nouveau gémissement.
    
    — Doucement, doucement, articulai-je sous la douleur.
    — Huuuummm, c’est bon, laisse-toi aller, tu aimes, je le sais.
    
    Elle imprimait des petites secousses sur le légume, puis poussait encore.
    
    Mes cris se faisaient de plus en plus forts. La délicieuse douleur me faisait perdre pied. Sa détermination à me sodomiser sous la contrainte m’excitait.
    
    Mes fesses souffraient et mon cerveau s’en régalait. Mon corps gémissait et mon esprit jubilait.
    
    Ma pastille s’ouvrait, je sentais sa dilatation et son remplissage et la sensation était formidable.
    
    Elle donna un brusque à-coup qui cette fois me fit réellement crier de douleur.
    
    — Je t’en prie, doucement ! J’ai mal.
    — Ça va passer, moi j’aime…
    
    La douleur passa, le plaisir ...