1. Une autre vie commence. (10)


    Datte: 07/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Faunus, Source: Xstory

    ... chérie, je n’ai rien de particulier à l’esprit.
    
    - Petit menteur ! Tu te poses des questions, c’est la première fois que nous y dormirons ensemble. Oui, comme un couple.
    
    - Ha ha ha ! Touché ! Bon ! Il faut nous bouger, sinon nous serons là-bas à minuit. Cette fois, c’est moi qui conduis.
    
    - Mon amour, je préfère m’en charger, ma Rosalie est un peu trop rustique pour toi.
    
    - C’est la première fois que tu utilises ce nom à propos de la Twingo, tu es beaucoup trop jeune pour connaître ce type de voiture.
    
    - Je ne suis pas aussi nouille que tu pourrais le penser. Mon arrière-grand-père en avait une dans les années trente. Allez, viens !
    
    Quelques minutes plus tard, ils étaient en chemin vers l’appartement. Charles était silencieux, il se laissait conduire tout en observant tour à tour Josiane et l’environnement. Comme à son habitude la jeune femme conduisait avec prudence. Cela le fit sourire en pensant qu’elle avait vu juste, la sortie des bureaux générait une circulation dense. Il n’aurait peut-être pas été à la hauteur pour conduire la petite voiture. Le trajet dura plus d’un quart ...
    ... d’heure, auquel de longues minutes s’ajoutèrent pour trouver une place libre à proximité de l’immeuble.
    
    - Oui, je sais, j’aurais dû mettre la voiture au garage, cela aurait été moins long.
    
    - Mon amour, je te ferais remarquer que je n’ai pas dit un mot à ce sujet.
    
    Pour mettre fin à la discussion alors qu’elle serrait le frein à main il l’embrassa sur la bouche. Un baiser tendre qui la détendit et fit revenir le sourire sur le visage contrarié de la jeune femme. Il en profita pour caresser un sein en passant la main dans l’ouverture laissée par un bouton détaché. Cela l’avait fait sourire quand il avait aperçu le petit sein libre de toute attache. Aujourd’hui, Josiane avait fait fort, pendant toute une journée elle s’était promenée sans sous-vêtements.
    
    - Mon petit coquin de mari a toujours les mains baladeuses à ce que je vois.
    
    - Quand je vois de si jolies choses, je suis incapable de résister. En plus de voir avec quelle rapidité ton téton a réagi, cela me donne des envies.
    
    - Je suis désolée, mon petit chou, mais il va te falloir attendre. Nous devons encore préparer quelques affaires. 
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