Une autre vie commence. (10)
Datte: 07/05/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Faunus, Source: Xstory
... choses.
- Oui Votre Altesse, nous ferons donc de la manière qui vous conviendra. Peut-être pourrions-nous raccrocher le téléphone et rentrer chez nous ?
- Est-ce bien vrai ? Je suis contente que tu sois d’accord pour m’épouser. D’autant plus que c’est important pour la suite.
La communication s’étant interrompue, Charles déposa le combiné sur son support. En levant les lieux, il vit la jeune femme entrer en courant dans le bureau. Après avoir fait le tour du meuble, elle vint s’asseoir sur lui. Après lui avoir enserré le cou, Josiane en riant entreprit de lui bécoter le visage.
- Es-tu certaine que tu veux me laisser vivre ? Tu es en train de m’étouffer. J’aimerais que tu me dises à quoi tu faisais allusion il y a quelques instants. De quelle suite me parlais-tu ?
En riant, avec sa main elle lui avait pris sa bouche en la serrant entre ses doigts. Dans un même temps, Josiane lui faisait bouger le visage de droite à gauche. Charles savait qu’il n’aurait pas de réponse directe et immédiate, il profita de l’opportunité qui s’offrait à lui. Pendant que sa chérie lui malmenait gentiment la face, il faufila sa main gauche sous la jupe plissée. Il frissonna quand ses doigts entrèrent en contact avec la peau nue et tiède. La jeune femme cessa son manège quand la main trouva la petite grotte humide et qu’un doigt fureteur y pénétra avec douceur.
- Ho ! Mon... petit cochon, tu profites de la faible femme que je suis pour me faire des choses. Veux-tu bien cesser tout ...
... de suite, vilain garçon ? Quelqu’un pourrait nous surprendre.
- Je te signale que ce n’est pas moi qui ai commencé. Je pense qu’une fois encore nous sommes les derniers.
- Bien ! Et si nous quittions les lieux, monsieur le directeur ?
En se levant, Josiane prit la main de Charles pour la placer devant sa bouche qu’il avait entrouverte. Sans réticence, il se lécha les doigts en faisant des grimaces comme s’il était surpris et dégoûté par le geste. En voyant ses mimiques, elle rit tout en remettant de l’ordre dans sa tenue.
- Si madame la Baronne le veut bien, rentrons chez nous.
- Mon petit mari chéri, nous n’y ferons qu’un bref passage.
- Ah ! Bien ! Nous ressortirons pour aller manger dans un bouchon sur les quais de Saône.
- Non, pas du tout, j’ai envie que nous allions à Saint-Cyr pour y passer le week-end avec mes parents.
Charles se contenta d’acquiescer en hochant la tête. Cette nouvelle ne l’emballait pas. Comme les semaines antérieures, ils avaient passé le samedi précédent dans la demeure familiale. Tout en sachant que Marie Louise et Antoine étaient de bonne compagnie, il appréhendait un peu d’y passer la nuit. De la voir sourire et agir, il se dit qu’il n’y avait pas moyen d’y échapper. Les prochaines quarante-huit heures se passeraient dans la demeure ancestrale de sa petite femme. Cette visite improvisée allait lui permettre de découvrir en détail cette bâtisse imposante et ses dépendances.
- Charles, à quoi penses-tu ?
- Comment ? Ma ...